Laprière, L’Oasis n°8 : Musique. Une prière écrite par un organiste pour confier à Dieu son engagement au service de la liturgie, par l’intercession de sainte Cécile, patronne des musiciens.« Seigneur, Dieu Trinité, fais de moi l’instrument de

Condamnation des violateurs des mystères de l’au-delà Le 11 septembre 1943 Livre de Ben Sira le Sage 3, 2121 Ne cherche pas ce qui est trop difficile pour toi, ne scrute pas ce qui est au-dessus de tes Jésus dit “Beaucoup d’âmes s’égarent en voulant chercher ce qui est trop difficile’ pour elles et en voulant scruter ce qui est au-dessus de leurs forces’, comme dit l’Ecclésiastique 3, 21.C’est l’ancien poison. L’homme est, et a toujours été, coupable de curiosités malsaines et de profanations sacrilèges. Il veut pousser son investigation jusqu’à des régions que la sagesse divine garde enveloppées dans le mystère, non par jalousie du pouvoir, mais par prévoyance de l’amour. Malheur à l’être humain s’il connaissait tout de l’avenir et des secrets de l’univers ! Vous n’auriez plus de paix spirituelle ni de paix naturelle. Laissez l’avenir à Dieu, créateur et dispensateur du temps et laissez vierges ces zones de l’univers dont la possession vous donnerait des armes pour troubler toujours plus votre existence d’individus et d’ déjà dit [1] que je ne m’oppose pas aux œuvres de l’intelligence humaine. Si je le faisais, je serais inconséquent avec moi-même, puisque j’ai donné l’intellect à l’être humain pour qu’il s’en serve et non pour qu'il le laisse inerte. Cependant, je vous dis par la bouche de la Sagesse Ne souhaitez pas être de curieux scrutateurs des œuvres de Dieu, ne cherchez pas à aller outre les frontières que j’ai tracées pour séparer votre puissance des puissances plus fortes que la vôtre, des lois du cosmos, des secrets des forces naturelles, et surtout des mystères d’outre-tombe dont je suis le seul à avoir le droit de vous dévoiler la vérité et l’existence, car je suis le Seigneur de toute chose tandis que vous n’êtes que les hôtes de cette pauvre Terre et vous ne savez pas ce qui vous est réservé au-delà de la vie dans l’autre vie. Il suffit d’y croire. Croyez qu’elle apporte une récompense ou un châtiment, fruit d’une sainte justice, lequel attend d’être appliqué à chaque individu. Je vous ai fait connaître cela pour votre bien. Vous n’avez pas besoin d’en savoir troublez pas de votre indiscrète et bavarde curiosité la paix surnaturelle de l’autre vie. Même si cela concerne ceux qui sont tourmentés, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas de paix parce qu’ils sont séparés de moi, le fait de comprendre n’apporte toujours qu’une augmentation de l’inquiétude. Pourquoi troubler par des échos de la terre la sérénité des cieux ? Pourquoi augmenter le tourment de ceux qui sont punis par des voix qui leur rappellent le monde où ils méritèrent leur punition ? Ayez du respect pour les premiers et pitié des seul, Seigneur du Ciel et de la Terre, Arbitre suprême de toute chose, Puissance parfaite en toute chose, je peux prendre de telles initiatives et rétablir le contact entre l’être humain et le mystère de l’autre vie. Moi seul. C’est alors que je vous envoie mes messagers, et toujours pour un bien, jamais pour me plier à de sottes et profanatrices recherches humaines.Bienheureux ceux qui croient sans avoir vu’, ai-je dit à Thomas, et je le redis à tous les curieux et à tous les incrédules de la terre. On n’a pas besoin de preuves pour croire à la deuxième vie, qui n’est pas — sachez-le pour le moment — telle que vous l’imaginez dans toutes vos fantaisies, mais que j’ai dit, une seconde vie, unique, et non des vies et encore des vies. Vous êtes des êtres humains, et non des grains de blé qui, ressemés, germent une, deux, dix, cent fois, autant de fois qu’on les n’a pas besoin de preuves. Ma Parole suffit. Si vous dites que vous croyez à la deuxième vie et ensuite vous cherchez des preuves surnaturelles pour croire, vous mentez et vous me traitez de menteur. Vous mentez parce que vous dites que vous croyez avec la bouche, mais vous ne croyez pas avec l’esprit et vous cherchez des preuves. Vous me traitez de menteur parce que le fait que vous cherchez des preuves suppose la pensée, sous-entendue mais très vive, que j’aie pu dire des choses non punition des curiosités inutiles et dangereuses et des pensées irrévérencieuses et sacrilèges, je permets que, chez les malheureux investigateurs de ce qu’il n’est pas nécessaire à l’humain de chercher à connaître, il se crée une confusion mentale, un trouble de l’esprit et une grave blessure à la Foi, chez les meilleurs d’entre eux, et la mort de la Foi et de l’esprit chez les sont les meilleurs parmi ces violeurs du mystère ? Ce sont ceux qui s’en approchent, non pour me faire un procès, puisqu’on ne peut me faire de procès, mais plutôt pour me chercher, car ils ne savent pas me trouver par d’autres voies plus sûres, humbles et hautes comme celui qui les a marquées, le Christ qui est venu exprès sur la Terre pour apporter la doctrine sûre, laquelle vous guide à la deuxième vie, et pour fonder l’Église, dépositaire et maîtresse de ma doctrine. Ceux-ci ne savent pas embrasser les pieds de l’Église avec la simplicité des enfants et l’humilité des saints, en lui disant Je t’aime, je t’obéis, guide-moi’. Mais ils cherchent avec une pensée droite. Je les traite donc avec beaucoup de sont les pires parmi ces violeurs du mystère ? Ce sont ceux qui s’en approchent par pure curiosité scientifique, pour un profit humain, quel qu’il soit, du vil argent donné en échange de leur science de magie au bénéfice direct qu’ils peuvent tirer du moins le croient-ils de guides ultra-terrestres. Mais ce n’est pas ainsi qu’on a des guides. Ils viennent spontanément, par mon commandement et non appelés par les ceux-ci, je serai un Juge d’une inexorable sévérité et je les punirai pour avoir manqué de foi et de respect envers le Maître de cette vie et de l’autre, la vraie, et pour avoir manqué de respect envers les trépassés, à qui je suis le seul à pouvoir donner des ordres capables de les détourner de leurs demeures bienheureux, trois fois bienheureux ceux qui croient sans besoin de preuves; bienheureux, sept fois bienheureux ceux qui n’ont jamais douté un seul instant de ma parole et de ma doctrine, confiée à mon Épouse et Maître, l’Église, et qui, sans jamais avoir osé, et même souhaité oser, profaner les royaumes ultra-terrestres, sont convaincus que la vie ne meurt pas sur cette terre, mais change de nature et devient éternelle, béatifique pour ceux qui ont su vivre de moi et en moi, effroyable pour ceux qui, répudiant Dieu, ont forniqué avec ces croyants purs, à ces simples et humbles esprit, pour qui la Foi est lumière et ma Parole, vie, j’accorde ce que je nie aux autres investigateurs la connaissance et la possession de la Vérité d’outre-terre.” Source chez le porte-parole du Christ d’humilité et de de la vision de lumière qu’est le corps glorifié de Marie Le 12 septembre 1943 Jésus dit “Parmi ces croyants purs, ces simples et humbles esprits dont je t’ai parlé hier et à qui j’accorde la possession de la Vérité, je suscite des âmes spéciales; je les choisis avant leur incorporation à la vie, car je sais tout des humains qui ont vécu, qui vivent et qui vivront, et je sais donc à l’avance comment chaque esprit agira sur terre, méritant ou ne dites pas que c’est injuste parce que je ne vous force pas à mériter. Non c’est être fidèle à mon œuvre et à ma promesse que de créer l’être humain capable de se guider et libre de se guider. Je donne les secours, tous les secours, à mes enfants, mais je ne les force pas à s’en prévaloir. Je le désire de tout mon amour, mais je respecte le désir de chaque humain. Dieu a poussé son amour jusqu’au sacrifice de son Verbe pour qu’il vous portât la Parole et le Sang. Mais il ne peut, ne veut en faire plus. Quel mérite, auriez-vous à être bons si je vous empêchais d’être mauvais ?À ces âmes que je choisis, parce que je sais à l’avance qu’elles seront saintes par amour ou le deviendront après l’erreur par un repentir sincère et un double amour, je donne donc ce que je ne donne pas aux masses enseignements et lumières qui sont une source de béatitude pour ces mêmes âmes et une direction pour des âmes sœurs moins éclairées qu’elles car moins fondues à malheur à ces âmes favorites si elles sont orgueilleuses et avares de mon don. Je n’aime pas les avares et je déteste les premiers agissent contrairement à la charité parce qu’ils gardent pour eux ce qui appartient à tous, car je suis le Père de tous et je donne mes trésors à mes enfants chéris pour qu’ils soient mes aumôniers auprès des pauvres de l’esprit, et non pour qu’ils conservent ces trésors avidement et à l’encontre de la charité, tuant ainsi la charité et désobéissant à la volonté de Dieu. Le seul fait de tuer la charité brise le canal par lequel coulent vers eux mes paroles et éteint la lumière grâce à laquelle ils en voient la vérité. Ils déchoient donc de leur mission de porteurs de ma Voix. Ceci explique pourquoi certaines âmes, à un temps des phares de l’Église, périssent par la suite dans une grisaille de brouillards aux orgueilleux, ils sont privés immédiatement et inexorablement de mon don. En eux, ma parole ne s’éteint pas lentement, comme une fleur qui meurt sans eau ou un oiseau emprisonné dans un cachot obscur, comme cela arrive dans le cas des avares. Elle meurt d’un seul coup comme une créature étranglée. L’orgueil est la quintessence de l’anti-charité, la perfection de l’anti-charité, et son venin démoniaque tue instantanément la Lumière dans le que je regarde vos faiblesses avec douleur et compassion, je détourne le regard lorsque je rencontre un orgueilleux. Et savez-vous ce que c’est que de ne plus avoir sur soi mon regard ? C’est être de pauvres aveugles, de pauvres fous, de pauvres ivrognes qui vont en chancelant de danger en danger et qui rencontrent la mort. Voilà ce que c’est de ne plus avoir sur soi le regard de Dieu, lequel vous protège comme rien d’autre ne peut vous fut accordé à ma Mère sainte et bénie d’être porteuse du Verbe, non pas tant à cause de sa nature immaculée que de son humilité super-parfaite. Tous les actes d’humilité humaine ne s’élèvent pas au trésor d’humilité de la Très Humble qui est toujours restée telle, même, vous comprenez, lorsqu’elle apprit qu’elle était destinée à être la plus haute de toutes les créatures. Marie a consolé les Trois divines Personnes, blessées par l’orgueil de Lucifer et du premier Couple, de son humilité, surpassée seulement par celle du chère Mère, notre intarissable joie ! Si tu pouvais la voir aujourd’hui au Ciel pendant que tout le Paradis l’entoure de son amour et chante hosanna à elle et à son Nom salutaire ! Tu verrais un abîme de gloire au fond d’un super abîme d’humilité, et la lumière inconcevable de Marie étincelle doublement de sa très chaste et virginale humilité qui se recueille en adoration devant Nous et abaisse tous les hosannas célestes en disant Domine, non sum digna’. Pas digne, elle, sainte et première Prêtresse ! Elle pour qui nous créerions un second Paradis pour qu’elle eût des louanges redoublées !...Regarde, Maria. En ce jour consacré à Marie, reçois la vision de la lumière dans laquelle est ta Mère et la mienne. Tu as vu la Lumière rutilante, insoutenable de notre triple Feu. Regarde maintenant la très douce lumière de Marie. Abreuve-t’en, nourris-t’ tu ne sentiras chose plus suave descendre dans ton cœur. Regarde, aussi longtemps que je te l’accorderai, cette fontaine, cet astre de lumière qu’est Marie, resplendissant au Ciel de l’éclat de son corps immaculé qui ne pouvait se corrompre, car il fut l’enveloppe sainte du Dieu fait chair en plus d’avoir atteint à la perfection humaine de toute sainteté, et super-resplendissant de son esprit uni à l’Esprit de Dieu en des noces vois l’azur du ciel entoure la blancheur, la teignant de reflets célestes, et la lumière de Marie rend les cieux lumineux comme par une aube d’avril surhumaine dans laquelle l’astre du matin sourit à un monde vierge et et souviens-toi de la vision que les anges contemplent avec un éternel rire de joie. Qu’elle soit ta sérénité, tout comme la nôtre est ta toi te sont montrées des choses qui dépassent l’intelligence humaine, et cela par la volonté de Dieu. Mais pour continuer à en avoir le don, apprends de Marie à toucher les sommets de l’humilité, ce qui abaisse la glaise pour porter l’esprit vers les t’ai réservé ce don pour la fête du Nom de Marie. Pour la Nativité, le sourire de Marie, la sainte Femme pour le Nom, la gloire de Marie, Mère de Dieu.”J’ai vu, et je ne peux la décrire, notre Mère dans sa demeure au Ciel. Comme dans le cas de Dieu, et je dirais presque plus encore, la comparaison avec la lumière’ m’est utile pour parler d’ lumière réconfortante, d’un blanc bleu, comme celle du plus clair rayon de lune multiplié par une intensité surnaturelle. Je ne distingue pas très bien le visage et le corps de Marie. Trop de lumière’ pour que l’œil humain puisse les m’explique ce n’est pas une lumière aveuglante qui empêche de regarder, mais une lumière qui transforme les contours et les formes du corps glorifié de Marie en lumière’, ce qui fait que je ne peux pas en dire les pourrais dire que si des montagnes de perles se transformaient en lumière, on aurait une idée de ce qu’est la Très Blanche, bienheureuse au Ciel. Et je pourrais dire aussi que, si une vision avait le pouvoir de changer la couleur des yeux en imprégnant l’iris de la couleur émanée de la vision, mes yeux, qui sont brun foncé, devraient être maintenant de l’azur pâle d’un saphir liquide, comme celui qui se dégage de certaines étoiles par les nuits suis submergée par l’émotion qui me fait pleurer des larmes de joie spirituelle... et je ne peux rien dire d’ te dire ?Plus jeune, j'appelais de tout mon coeur notre maman Immaculée lorsque j'étais tenté par rapport à l'impureté charnelle , aujourd'hui je le fais également lorsque je suis tenté par l' l'un que l'autre répugnent à mon coeur et si j'ai laissé infuser ces tentations quelques secondes, quel dégoût dans mon âme ! Vite mon petit coeur, soit bien contrit et supplie ton Seigneur ! Va déposer ton péché...Pureté, humilité, vertus nécessaires à l'ensemencement de l'amour qui pourra croître !C'est accessible à chaque baptisé ! OUI !L’abandon du Père et les larmes de Marie Le 14 septembre 1943 Commencée au moment de la Communion Jésus dit “L’archange Michel, que vous invoquez dans le confiteor, mais comme d’habitude, l’âme absente, trop absente, était présent à ma mort en croix. tes sept grands archanges, qui se tiennent en permanence devant le trône de Dieu, étaient tous présents à mon ne dis pas que cela contredit mes paroles Le Ciel était fermé’. Le Père, je le répète, était absent, distant, au moment où la Grande Victime consommait son immolation pour le salut du le Père avait été avec moi, le sacrifice n’aurait pas été total. Cela n’aurait été que le sacrifice de la chair condamnée à mourir. Mais je devais accomplir l’holocauste total. Aucune des trois faces de l’homme, la charnelle, la morale, la spirituelle, ne devait être exclue du sacrifice, car je m’immolais pour toutes les fautes, et non seulement pour les fautes des sens. On peut donc comprendre que mes dimensions morale et spirituelle devaient être broyées, anéanties par la meule de l’horrible sacrifice. Et on peut aussi comprendre que mon Esprit n’aurait pas souffert s’il avait été fondu à celui du j’étais seul. Élevé, non matériellement mais surnaturellement, à une telle distance de la terre qu’aucun réconfort ne pouvait plus en venir. Coupé de tout réconfort humain. Élevé sur mon échafaud, j’y avais apporté le poids incommensurable des fautes de toute l’humanité des millénaires passés et des millénaires à venir, et ce poids m’écrasait plus que la croix, que mon corps déjà à l’agonie avait si péniblement traînée sur les rues pierreuses, raides, étouffantes de Jérusalem, au milieu des blagues et des coups d’une foule sur la croix avec la souffrance totale de ma chair suppliciée et la souffrance suprême de mon esprit, accablé par un tas de fautes qu’aucun secours divin ne rendait supportables. J’étais naufragé au milieu d’un océan déchaîné et je devais mourir ainsi. Mon cœur s’est brisé sous l’angoisse de ce poids et de cet ma Mère était à mes côtés. Elle y était. Nous étions nous deux, les Martyrs, enveloppés dans le tourment et l’abandon. Et de nous voir l’un l’autre ajoutait une autre torture à la torture. Car chacun de mes frémissements lacérait les fibres de ma Mère, et chacun de ses gémissements était un autre fléau sur mes chairs flagellées et un autre clou rivé, non dans mes paumes, mais dans mon cœur. Unis et divisés à la fois pour souffrir davantage, et au-dessus de nous, les Cieux- fermés sur le courroux du Père, et si loin...Mais les archanges étaient présents à l’immolation du Fils de Dieu pour le salut de l’humanité et la torture de la Vierge Mère. Et s il est dit dans l’Apocalypse qu’aux derniers temps, un ange fera l’offrande du plus saint encens au trône de Dieu, avant de répandre le feu premier de la colère divine sur la terre, comment pouvez-vous penser que, parmi les prières des saints, encens impérissable et digne du Très-Haut, il n’y ait pas, au premier rang, plus suppliantes que n’importe quelle parole, les larmes de ma Sainte bénie, de ma très douce Martyre, de ma Mère, recueillies par l’ange qui lui fit l’annonce et reçut son consentement, le témoin angélique des noces surnaturelles par lesquelles la Nature divine contracta un lien avec la nature humaine, attira à sa hauteur une chair et abaissa son Esprit à devenir chair pour la paix entre l’être humain et Dieu ?Gabriel et ses célestes compagnons, penchés sur la douleur de Jésus et de Marie, dans l’impossibilité de la soulager, car c’était l’heure de la Justice mais non absents de cette douleur, ont recueilli dans leur intellect de lumière tous les détails de cette heure, tous, pour les étaler, quand le temps ne sera plus, à la vue des ressuscités, source de joie pour les bienheureux et condamnation des réprouvés, avant-goût pour les uns et les autres de ce que je donnerai, moi, Juge suprême et roi très haut.”Luc 21, 20-24Jésus a commencé à parler pendant que je disais le confiteor, et mon esprit a vu Gabriel, lumière dorée, incliné en adoration de la Croix, je pense. Mais je ne voyais pas la aujourd’hui, en feuilletant attentivement les pages dactylographiées pour corriger les petites fautes de transcription, afin qu’aucune bévue ne vienne altérer la pensée, je trouve un commentaire de moi, daté du 31 mai, au sujet de la destruction de Jérusalem... Je me Souviens de l’impression que j’ai eue en lisant Saint Luc 21, 20-24. Je disais ce jour-là “J’ai compris qu’il y a là une allusion à nous tous. Je n’ai pas vu clairement. Mais je suis restée sous cette douloureuse impression”. Aujourd’hui, je relis Saint Luc et, malheureusement, il me semble que ce passage convient parfaitement à nos situations malheureuses...Jésus me parle aujourd’hui de sept archanges qui se tiennent toujours devant le trône de Dieu. Y sont- ils vraiment ou est- ce un nombre allégorique ? J’ai cherché dans la Bible, mais je n’ai rien trouvé à ce sujet. Ça doit être une de ces lacunes’ dont parle Jésus le 11 édition par Anayel le Mar 21 Juin - 910, édité 3 foisMarie, Co-rédemptrice, maîtresse de douleur, excepté dans l’enfantement et dans la mort Le 15 septembre 1943 Jésus dit “C’est une opinion très répandue parmi les chrétiens, et chrétiens catholiques, que ma Mère n’a jamais souffert comme les mortels souffrent en général. Ils croient que la douleur lui vint, mais que, étant donné sa nature immaculée, elle put la supporter aisément parce que la Grâce l’atténuait. Bref, ils croient qu’elle eut le choc de la douleur, mais qu’elle ne put pénétrer en elle, car sa nature immaculée et la Grâce, comme une cuirasse impénétrable, la c’est une grave erreur. Marie était l’Immaculée’, exempte de l’hérédité de la faute d’Adam et des fruits de cette faute, et dans ce sens, elle aurait effectivement dû être préservée de la souffrance, car le Créateur avait créé la race humaine exempte de la douleur et de la mort, qui est la suprême douleur de l’être humain. Mais Marie était la Co-rédemptrice. Et la mission de rédempteur est toujours une mission d’infinie douleur. Autrement, comment un rédempteur pourrait-il racheter les péchés des autres ? Comment une victime pourrait-elle payer pour ses frères et sœurs ? Marie était rédemptrice comme j’étais rédempteur. Il est donc juste que la douleur ait été sa peut-être été épargné de la douleur ? Non. Et pourtant, si Marie, par un miracle de Dieu était exempte de la faute d’Adam, elle qui était née de deux chairs devenues une seule chair dans une union humaine, moi, Dieu, et donc pur de quelque faute que ce soit, de toute faute, de toute ombre de faute, moi qui suis devenu homme par les noces de l’Innocence et de la Grâce et qui suis donc infiniment supérieur à elle, j’ai quand même été sacrifié à la Douleur, à une douleur qui n’a jamais été et ne sera jamais égalée, puisque ce fut douleur de chair et de sang, d’intellect, de cœur, d’âme et d’ Justice divine, qui ne ment pas et ne se contredit jamais, fut fidèle à ses antiques promesses et n’appliqua pas à la Sans Faute, comme étaient sans faute les premiers parents, les deux principales condamnations de la chair, d’Ève en particulier la douleur de la mort et celle de l’ naissance fut une très douce extase. Dans le silence de la nuit qui isolait du monde la très humble demeure solitaire, Marie s’était plongée dans ses ferventes contemplations de Dieu. La prière de Marie était toujours un ravissement en Dieu. En sortant de son ravissement, elle connut le Fils. Même que ce furent les premiers pleurs de l’Enfant-Dieu qui arrachèrent la Mère à sa contemplation spirituelle de Dieu et portèrent son regard à contempler le plus grand miracle, de l’Univers un Dieu incarné pour la rédemption de l’ mort de Marie fut un autre ravissement. L’oraison l’enveloppa dans des bandeaux d’amour, excluant chez elle toute sensibilité humaine, et l’Amour vint à sa rencontre pour la deuxième fois pour étreindre l’Épouse désirée avant même que le temps ne si dans la première rencontre, l’Amour se pencha sur la Vierge pour couvrir de son ombre divine la Très Chaste et la rendre féconde d’une chair divine, la deuxième rencontre fut l’étreinte totale de l’Inviolée avec l’Amour qui l’attira à lui jusqu’au plus haut des Cieux. La dernière contemplation de Marie sur terre se termina au Ciel où l’Amoureuse de Dieu, celle qui attendait impatiemment le Fils, put fixer pour toujours son adoration sur le Père, sur le Fils, sur l’Esprit Saint, ses éternels désirs et éternels avant cette heure, pauvre Maman, elle a dû s’imprégner de douleur. Et je t’ai déjà parlé de ce qu’ont été ses douleurs de toute une vie, lesquelles ont atteint leur sommet les jours de ma mort. Et je t’ai dit plus d’une fois que, étant destinée à être Co-Rédemptrice, elle en sentit toute l’âpreté, et pourquoi elle la toujours qu’elle est Maîtresse de Douleur comme je suis Maître de Vie, et pense que la douleur est vraie, absolue, seulement quand Dieu n’est plus aux côtés d’un esprit pour le soutenir dans l’épreuve. Pense que Marie fut seule à l’heure terrible afin de connaître l’horreur de la solitude et d’expier vos désespoirs de est l’Espérance, outre que la Foi et la Charité. Les trois vertus théologales sont personnifiées en elle, car personne au monde n’aima comme elle, personne ne crut et surtout personne n’espéra comme fut un abîme d’espérance. Et c’est pour cela que j’ai fait d’elle votre Étoile pour vous indiquer la voie du ciel. Si vous croyez toujours en elle, vous ne connaîtrez jamais l’horreur du désespoir et vous ne vous tuerez pas de désespoir. Que Marie, Espérance de Dieu qui l’attendait pour accomplir la Rédemption des humains, soit l’espérance des perdez pas de vue, ô mortels, l’Étoile du matin dont les rayons sont les sept épées enfoncées dans son cœur très doux et très pur, enfoncées pour votre amour. Vivez en elle. Et mourez en la Sainte, qui est Mère de Dieu et qui prie pour vous, sans se lasser, devant notre qui s’endormit sur le cœur de Dieu, vit maintenant au Ciel avec sa chair glorifiée. L’âme qui s’endort sur le cœur de Marie obtiendra la glorification de sa chair au Ciel quand le temps sera achevé, car elle est votre salut.”Source de Joël sur les temps derniers Le 16 septembre 1943 Joël, 2, 18-27 ; 3, 1-5Jésus dit “Ce n’est pas au sens où tu l’entends. L’heure de la paix et du pardon viendra pour vous Italiens aussi; l’heure viendra où vous rétablirez votre alliance avec le Seigneur après avoir été entre les mains de Satan qui vous a maltraités comme si vous étiez un écheveau de fil entre les mains d’un fou furieux. Mais les paroles de Joël 2, 18-32 ne sont pas dites en particulier pour tel ou tel autre sont pour mon peuple, pour le peuple du seul, vrai, grand Roi, du Seigneur votre Dieu, Unique en Trois Personnes, Créateur et Rédempteur du genre humain. Cette période de bien-être dont parle Joël est l’annonce anticipée de ce dont parle Jean dans son Apocalypse beaucoup plus les terribles guerres que Satan aura apportées à la Terre à travers son messager des ténèbres, l’Antéchrist, viendra le temps de la trêve pendant laquelle, après vous avoir fait la preuve sanglante des dons que peut vous faire Satan, je chercherai à vous attirer à moi, vous comblant de mes ! Mes dons ! Ils seront votre douceur ! Vous ne connaîtrez pas la faim, les massacres, les calamités. Vos corps, et encore plus vos âmes, seront rassasiés de ma main; la Terre semblera naître, par une seconde création, toute neuve dans ses sentiments, qui seront de paix et de concorde entre les peuples et de paix entre Ciel et Terre, car je répandrai sur vous mon Esprit, lequel vous pénétrera et vous donnera la vue surnaturelle des décrets de sera le règne de l’Esprit. Le règne de Dieu, celui que vous demandez et vous ne savez pas ce que vous demandez parce que vous ne réfléchissez jamais dans le Notre Père’. Où voulez-vous que le règne de Dieu arrive sinon dans vos cœurs ? C’est là que doit commencer mon règne sur la Terre, grand règne, mais qui reste viendra le Royaume sans frontières ni de temps, ni d’ Royaume éternel qui fera de vous des habitants éternels du ciel, puisque, et c’est naturel, je parle à ceux qui sont mes sujets et non aux réprouvés qui ont déjà leur effroyable roi, Dieu opérera tous les prodiges pour attirer le plus grand nombre de vivants, car je suis Dieu de miséricorde, de pardon et d’un amour si infini que, quoi que vous fassiez pour en étudier et en comprendre l’étendue, vous ne le pourrez pas. Ce que vous croyez être l’infinité de mon amour pour vous est comme un petit caillou de la grève d’un ruisseau par rapport à toute une chaîne de montagnes dont la base divise les continents et les cimes se perdent dans les crois-tu que tant de prodiges d’Amour et tant de lumières de l’Esprit convertiront les hommes à leur Dieu Éternel ? Détrompe-toi. Si j’avais pour les pauvres animaux dénués de raison les mêmes sollicitudes que j’ai pour vous dans vos besoins corporels seulement celle~ là — ces mêmes animaux me loueraient, dans leurs langages informes, du lever au coucher du soleil; et s’ils savaient où me trouver, ils partiraient de tous les coins du globe pour venir remercier leur Tuteur bienfaisant. Mais pas les êtres quasi-totalité d’entre eux resteront totalement sourds aux voix et aux dons spirituels, et presque entièrement sourds aux dons corporels; au lieu de reconnaître ma bonté et de m’aimer par reconnaissance, ils profiteront du bien-être que je leur donnerai pour descendre toujours plus dans l’abîme qui leur plaît où, telles d’immondes bêtes, ils se vautrent dans un bourbier, en attendant ce qui séduit les neuf¬ dixièmes de l’humanité la convoitise, la luxure, la fraude, la violence, le vol, l’hérésie, la superstition et autres corruptions des sens et de l’esprit, si horribles qu’il semble impossible aux justes qu’elles puissent être vraies; mais elles le sont, et elles font rougir les Cieux et soulèvent notre Divinité d’un mouvement d’ les largesses paternelles, ni les signes terrifiants du ciel ne pourront faire des vivants de cette époque des enfants de Dieu. Et alors viendra mon grand et terrible un jour de vingt-quatre heures. Mon temps se mesure d’une autre façon. Je l’appelle jour’ parce qu’on travaille le jour, et en ce temps-là, je ferai mon œuvre. J’effectuerai la sélection ultime des vivants sur la Terre. Et elle se fera durant le dernier déchaînement de verra alors ceux qui ont en eux le Royaume de Dieu et ceux qui ont le royaume de Satan. Car ces derniers commettront, par la bouche, par les actes et surtout par un cœur impie, les derniers affronts à ma Loi et les sacrilèges extrêmes envers Dieu; et, pendant que l’ultime bataille secouera la Terre d’une indicible horreur, les premiers s’accrocheront à ma Croix, invoqueront mon Nom qui sauve; et ma venue en tant que Juge ne les frappera pas de terreur, mais, au contraire, les fera jubiler, car les fidèles sont ceux qui sont sauvés, ceux que Joël appelle les restes’, c’est-à-dire ceux qui restent au Seigneur après les rapines de bénis, trois fois bénis pour l’éternité sont mes enfants. L’éternel Paradis est à eux. Unis aux fidèles du Seigneur de tous les temps, ils posséderont Dieu dont la possession est la béatitude éternelle.”Étant donné qu’il semblait ce matin que Jésus me laissât me reposer, après avoir dit comme d’habitude le Veni, Sancte Spiritus’, j’ai ouvert la Bible au hasard. Je suis tombée sur le chapitre 2 du livre de Joël, et précisément sur les versets donnais à ces paroles l’interprétation dont rêve de toutes ses forces mon cœur d’italienne. Mais Jésus m’en explique une signification beaucoup plus élevée… et Maria, le petit âne, l’écrit, se disant que seul le Seigneur est loi immuable de Dieu. La destinée connaissance de Dieu et liberté humaine Le 17 septembre 1943 Jésus dit Livre de la Sagesse, chapitre 6, 1-10 Je t’ai déjà expliqué à plusieurs reprises, depuis que je suis ton Maître de façon plus vaste que je ne le suis pour nombre de tes frères et sœurs, ce qu’a dit la Sagesse au chapitre 6, versets nous arrêtons donc pas à considérer ces paroles. La vraie Sagesse te les a expliquées bien avant que le Livre ne s’ouvrît pour toi à cette ne t’étonne pas si souvent tu trouves dans le Livre des sentiments et des paroles pareils à ceux que tu as entendus directement de moi. Je suis la Parole du Père. Et il n’y a qu’une Parole. Elle est la même maintenant qu’au temps des patriarches et des prophètes. Il est donc naturel qu’en lisant les paroles anciennes, tu les trouves pareilles aux toutes nouvelles paroles que tu entends de moi. C’est moi qui te parle, comme c’est moi qui parlais à ces hommes lointains. Et si votre époque et vos pensées ont tant changé, et si toi, mon petit Jean, tu es si différente des patriarches solennels et des prophètes véhéments, moi, je reste le même, pareil, immuable dans la parole, dans la ne change pas. Il s’adapte à vos changements, à votre évolution, appelons-la comme ça, dans les contours de son travail, mais le noyau, le contenu véritable de son enseignement, en ce qui n’appartient pas à la vie qui passe, mais à l’âme qui ne meurt pas, ce noyau, lui, demeure et demeurera toujours le même, même si la terre restait terre pour mille et dix mille ans encore, et si l’être humain parvenait à un niveau d’évolution matérielle note bien qui lui permît d’abolir les lois de l’espace, de la gravité, de la vitesse, et devenait presque omniprésent, au moyen d’instruments qui abolissent les séparations, vers lesquels il est déjà lancé, et auxquels vous donnez les noms scientifiques de télévision, téléphoto et autres ; ou s’il abolissait, moyennant d’autres instruments, l’impossibilité d’agir à distance, créant les radio commandes qui déchaîneront sur la terre la vengeance démoniaque des déflagrations à distance, des rayons mortels et autres semblables créations de marque ne pourrai jamais vous dire, même si vous réussissez à devenir assaillants d’autres planètes et créateurs de rayons puissants comme ceux de mon soleil, et que vous captiez des ondes qui abolissent les distances les plus démesurées pour l’ouïe et la vue, je ne pourrai jamais vous dire qu’il vous est légitime d’abolir la Loi de la charité, de la continence, de la sincérité, de l’honnêteté, de l’ je ne pourrai jamais vous le dire. Au lieu de cela, je vous dis maintenant et vous dirai toujours Soyez bénis si vous vous servez de votre intellect pour faire des découvertes dans le but de faire le bien. Soyez maudits si vous prostituez votre intelligence par un commerce illicite avec le Mal pour donner naissance à des œuvres de méchanceté et de destruction ».Assez à ce propos. Au lieu de cela, je te parlerai de ce qui peut te servir de réconfort et de 33, 11-15Il est dit dans l’Ecclésiaste, chapitre 33, versets 11-15, que l’être humain a différentes trace votre destin ? C’est un point important à établir pour ne pas tomber dans l’erreur. Erreur qui peut être cause de pensées blasphématoires et même de mort de l’âme. L’être humain se dit parfois Étant donné que c’est Dieu qui fait le destin, Dieu fut injuste et méchant avec un tel puisqu’il l’a frappé de malheurs ».Non, ma fille. Dieu n’est pas méchant et il n’est jamais injuste. Vous êtes myopes et vous ne voyez que très mal et seulement les choses qui sont proches de votre pupille. Comment pouvez-vous alors savoir le pourquoi écrit dans le Livre du Seigneur de votre destin ? Comment pouvez-vous, de la Terre, grain de poussière roulant dans l’espace, comprendre la vérité vraie des choses, laquelle est écrite au Ciel ? Comment nommer correctement ce qui vous arrive ?L’enfant à qui la mère donne un médicament pleure, appelant sa mère laide et méchante ; il essaie de repousser le remède qui lui paraît inutile et répugnant. Mais la mère sait qu’elle agit, non par méchanceté, mais par bonté ; elle sait que dans l’autorité dont elle fait preuve en cet instant pour se faire obéir, elle n’est pas laide, mais au contraire, elle revêt une majesté qui l’embellit ; elle sait que ce remède est utile à son enfant et elle l’oblige à le prendre avec des caresses ou une voix sévère. Si la mère pouvait le prendre elle-même pour guérir son petit malade, combien elle en prendrait !Vous aussi, vous êtes des enfants par rapport au bon Père que vous avez aux Cieux. Il voit vos maladies et il ne veut pas que vous restiez malades. Il vous veut en santé et forts, votre Père d’amour. Et il vous administre des remèdes pour rendre robustes vos âmes, pour les redresser, les guérir, pour les rendre, non seulement saines, mais aussi pouvait se passer de vous faire pleurer, ne croyez-vous pas qu’il le ferait, lui dont le cœur tout amour est sillonné des larmes de ses enfants ? Mais à chacun son heure. Il a tout fait pour vous afin de vous amener au salut éternel. Il s’est même exilé du Ciel, il a même pressé son Sang jusqu’à la dernière goutte pour vous le donner, remède très saint qui panse toutes les plaies, vainc toute maladie, renforce chaque c’est votre heure. Car, malgré la Parole, descendue des Cieux pour vous guider vers la vie, et malgré le Sang versé pour vous racheter, vous n’avez pas su vous détacher du péché et vous y retombez toujours ; l’Éternel, qui vous aime, vous impose un châtiment de douleur, plus ou moins grand selon la hauteur à laquelle il veut vous élever ou le point jusqu’où il veut vous faire expier ici-bas votre dette d’enfants y a, il est vrai, des créatures qui ont la douleur nécessaire pour devenir resplendissantes d’une double lumière dans l’autre vie. Mais il y en a d’autres qui doivent avoir la douleur pour laver leur étole tachée et atteindre la lumière. C’est la grande majorité. Cependant, et il y a là un contresens, mais c’est la vérité ce sont précisément celles-ci qui se révoltent le plus contre la douleur et qui appellent Dieu injuste et méchant parce qu’il les abreuve de douleur. Elles sont les plus malades et elles se croient les plus en on est dans la Lumière et plus on accepte, aime, désire la accepte quand on est une fois dans la aime quand on est deux fois dans la désire et demande la douleur quand on est trois fois dans la Lumière, plongé en elle et vivant d’ contraire, plus on est dans les ténèbres et plus on fuit, hait la douleur, se révolte contre fuit les âmes faibles qui n’ont pas la force de faire le grand mal ou le grand bien, mais vivotent une pauvre vie spirituelle, enveloppée des brouillards de la tiédeur et des fautes vénielles, ont une peur incoercible de toute souffrance, de quelque nature qu’elle soit. Ce sont des esprit sans épine dorsale, sans hait les vicieux, pour qui la douleur est un obstacle à la poursuite des vices de tout genre, haïssent ce grand maître de vie se révolte le grand pécheur, totalement vendu à Satan, accu¬~mule les crimes spirituels, parvenant aux sommets de la rébellion, lesquels sont le blasphème et le suicide ou l’homicide, pour se venger du moins le croit-il de la souffrance. Sur celui-ci, l’œuvre paternelle de Dieu se transforme en fermentation du mal, parce que ce grand pécheur est pétri de mal comme la farine est pétrie de levain. Et le Mal, comme le levain sous l’action du pétrissage, se gonfle en eux et en fait le pain pour l’ laquelle de ces trois catégories as-tu appartenu ? À laquelle appartiens-tu maintenant ? Dans laquelle veux -tu rester ? Tu n’as pas à répondre, je connais ta réponse. C’est pour ça que je te parle et que je suis avec fois, l’être humain se dit Si chacun a un destin bien tracé, il est inutile de trimer et de lutter. Laissons-nous aller, de toute façon tout est arrêté ».Autre erreur pernicieuse. Oui, Dieu connaît le destin. Mais vous, le connaissez-vous ? Non. Vous ne le connaissez pas d’heure en te donne un exemple. Pierre me renia. Il était écrit dans son destin qu’il commettrait cette erreur. Mais il se repentit de m’avoir renié et Dieu lui pardonna et fit de lui son Pontife. S’il avait persisté dans son erreur, aurait -il pu devenir mon Vicaire ?Ne dis pas c’était le destin. N’oublie jamais que Dieu connaît vos destins, mais c’est vous qui faites votre destin. Il ne violente pas votre liberté d’agir. Il vous donne les moyens et les conseils, il vous donne les avertissements pour vous remettre sur le droit chemin, mais si vous ne voulez pas rester sur ce chemin, il ne vous y forcera êtes libres. Il vous a créés majeurs. C’est une joie pour Dieu si vous restez dans la maison du Père, mais si vous dites Je veux m’en aller », il ne vous retient pas. Il pleure sur vous et s’afflige de votre destin. Il ne veut pas en faire plus, car en en faisant plus, il vous enlèverait la liberté qu’il vous a donnée. C’est une joie pour Dieu quand, sous la morsure de la disette, comprenant que la joie n est que dans la maison du Père, vous revenez à lui. La joie et la reconnaissance de Dieu vont à ceux qui, par leur sacrifice et leurs prières, surtout ces deux choses, et puis par leurs paroles, réussissent à me rendre un enfant. Mais rien de revanche, sache que ceux qui sont dans ma main comme de l’argile molle dans la main du potier sont les élus de mon cœur. Ma main est sur eux comme une caresse. Mes caresses les modèlent, leur donnant mon empreinte et les façonnant à la ressemblance de ma douceur de ma charité, de ma pureté et de la plus belle de toutes les ressemblances celle de ma ce sont les âmes qui continuent ma mission de Rédempteur et auxquelles je dis sans cesse merci » qui constituent la bénédiction qui protège le plus. Et si le voile de Véronique est sacré parce qu’il porte mon effigie, que seront ces âmes qui sont ma véritable effigie ?Courage, Maria ! Ma paix est avec toi. Je suis avec toi. N’aie pas peur !Source artisan de son destin ; savoir obéir en suivant l’exemple de Jésus et de Marie Le 18 septembre 1943 Jésus dit J’ai dit hier “Vous faites votre destin”. Aujourd’hui, j’ajoute vous faites votre destin, mais lorsqu’on fait la volonté que le Père propose, on est sûr de se faire un destin de lumière, tandis que si l’on se ferme les oreilles et les yeux pour ne pas entendre et ne pas voir la volonté du Père, et qu’on se ferme l’âme à l’amour qui porte à l’obéissance, en suivant, non pas la voix de l’esprit, mais celle de la chair et du sang attisés par Satan, on se crée un destin de ténèbres qui aboutit à la mort de l’ si tu réfléchis au fait que, dans la vie, celui qui aime que ce soit un enfant, un frère, une sœur, un époux, une épouse, un élève, un subordonné, qui que ce soit cherche toujours à contenter l’être aimé, tu peux facilement comprendre que ceux qui aiment beaucoup Dieu se conforment à ses désirs, quels qu’ils soient ; que ceux qui l’aiment peu s y conforment moins et seulement à ces désirs qui ne leur coûtent pas trop de peine ; et enfin, que ceux qui ne l’aiment pas du tout ne se conforment aucunement aux désirs de sa sainte volonté, mais, au contraire, se révoltent, se lançant sur le sentier qui mène aux antipodes de la destination que Dieu conseille, et s’éloignent du Père en blasphémant contre pourrait donc en conclure, sans crainte de se tromper, que la mesure dans laquelle une créature sait obéir aux désirs de son Seigneur et Père donne la mesure dans laquelle elle aime son Créateur. Celui qui dit aimer Dieu et ne sait pas suivre sa voix qui lui parle avec amour pour le conduire à sa demeure, celui-là qui veut- il tromper par son mensonge ? Dieu ? On ne trompe pas Dieu. Vos paroles ont le vrai sens qu’elles ont, et non le sens que vous leur donnez, et Dieu comprend leur vrai sens. Or, si vous dites aimer le Seigneur et qu’ensuite vous lui refusiez l’obéissance, qui est une des preuves fondamentales de l’amour, il ne peut que vous appeler hypocrites et menteurs et vous traiter comme voulez peut-être tromper Satan et, profitant des arrangements commodes avec votre conscience qu’il vous suggère, lui signifier en même temps que vous voulez être heureux en cette vie, mais aussi dans l’autre, ménageant Dieu et Satan, le Ciel et l’Enfer ? Ô sots que vous êtes ! On ne trompe pas le Rusé et, moins patient que Dieu, il exige une compensation immédiate et il faut le payer tout de suite, car il n’accorde aucun délai. Et en vérité, je vous dis que son joug n’est pas une aile, mais une lourde pierre qui écrase et enfonce dans la boue et dans les voulez peut-être vous tromper vous-mêmes, vous disant que ce n’est qu’une nécessité de la terre qui vous pousse à faire votre volonté, mais qu’au fond, vous voudriez faire celle de Dieu parce que vous la préférez ? Hypocrites, hypocrites, hypocrites !Il y a en vous un juge qui ne connaît point le sommeil, et c’est votre esprit. Même si vous le blessez à mort et que vous le condamniez à périr, il crie en vous, aussi longtemps que vous êtes de cette terre, il crie son désir du Ciel. Vous l’accablez et le bâillonnez pour l’immobiliser et le faire taire, mais il se démène jusqu’à se débarrasser de votre bâillon et il jette son cri dans le silence désolé de votre cœur. Et, cette voix, comme le cri de mon Précurseur, est un tel tourment pour vous que vous cherchez à l’étouffer pour toujours. Vous n’y réussirez jamais. Aussi longtemps que vous vivrez, vous l’entendrez, et dans l’au-delà, elle criera encore plus fort, vous reprochant d’avoir commis le crime d’homicide de votre clé de certaines aberrations humaines, qui vont en augmentant et mènent l’individu à de monstrueuses délinquances, se trouve dans cette voix de la conscience que vous cherchez à affaiblir par de nouveaux sursauts de férocité, tout comme l’intoxiqué cherche à oublier son malheur voulu en s’intoxiquant toujours davantage, jusqu’à l’ des fils et des filles, mes créatures. Aimez, aimez notre bon Père qui est aux Cieux. Aimez-le autant que vous le pouvez. Il vous sera alors facile de suivre sa volonté bénie et de vous faire un destin de gloire qui l’ai aimé à la perfection, je l’ai contenté jusqu’au sacrifice de ma divinité qui, pendant trente-trois ans, s’est exilée des Cieux, et de ma vie qui fut détruite dans le martyre le plus atroce de la chair, de l’intellect, du cœur et de l’ Mère, qui vient après moi dans sa capacité d’aimer, aima avec toute la perfection possible à une créature, car, qu’on se le dise incidemment et en réponse à une objection qu’on t’a faite, elle possédait la plénitude de chaque vertu et de chaque attribut, toujours et naturellement en tant que créature parfaite, mais néanmoins créature humaine. Puisqu’elle avait en elle la plénitude de la Grâce, c’est-à-dire qu’elle possédait Dieu comme seule Marie l’a possédé, il est évident que sa perfection devait atteindre des hauteurs qui ne sont surpassées que par Dieu. Eh bien, Marie qui venait donc après moi dans sa capacité d’aimer, a adhéré à la volonté de Dieu jusqu’au sacrifice de sa vocation, qui était de se consacrer uniquement à la contemplation de Dieu, et de son cœur que Dieu lui demanda pour le divine maternité de Marie est la preuve vivante de son adhésion à la volonté de Dieu. Moi, le Fils qui n’a pas enlevé à la Mère sa blancheur immaculée de lys inviolé, je suis le témoignage de l’acquiescement de Marie aux volontés de a défié l’opinion du monde, le jugement de son époux, en plus que d’avoir embrassé son échafaud de Mère du Rédempteur, sans l’assurance que Dieu ne repoussait pas le don de sa pureté, elle prononça le plus haut “fiat” jamais dit par des lèvres humaines et elle n’eut aucune crainte Dieu était sa force et elle lui confiait son honneur, son avenir, tout, sans vos modèles moi et Marie. Suivez-nous, et vous vous ferez le destin que Dieu désirait pour chacune de ses créatures. Suivez-nous, et vous posséderez la paix, car vous posséderez Dieu qui est paix, et vous sentirez le bien-être de votre béatitudes que j’ai proclamées, vous les aurez dès cette terre si vous faites la volonté de votre Père. Ensuite, au Ciel, elles seront soixante-dix fois plus grandes, parce qu’alors rien n’entravera votre fusion en Dieu. »Source détaillée de la vision de Marie Le 19 septembre 1943 Hier soir, 18 septembre, je souffrais terriblement. J’avais souffert comme ça toute la journée et j’étais vraiment épuisée. Chaque respiration, le moindre mouvement m’étaient très pénibles et m’obligeaient à me lamenter, moi qui ne me lamente jamais. Et puis, tousser, n’en parlons pas... J’aurais préféré un coup de fusil à une quinte de l’heure du dîner, c’est-à-dire entre 20h et 21h, alors que j’étais restée seule, ma vue mentale fut comblée par la vision de la Très Sainte Vierge Marie. Je vais essayer de vous la décrire. Mais comment faire pour vous montrer sa beauté et ses couleurs ?Elle est vêtue de blanc une robe fermée au ras du col, comme si elle était plissée je vois que, sur sa poitrine, l’étoffe forme des plis souples qui modèlent chastement les formes de Marie. Les manches sont plutôt étroites et vont jusqu’au poignet. La robe est ramassée à la taille par une ceinture. Mais elle n’est ni d’or ni d’argent. On dirait un cordon de soie, de la même couleur et aussi brillant que la robe. Il n’est pas noué et les bouts ne pendent pas sur la robe. Il ceint la taille, et c’est la tête, une mante de la même étoffe que la robe, légère mais non transparente. Elle descend le long des joues de Marie, se resserre au cou, comme si une boucle la retenait. Mais une boucle large, car je peux voir la gorge très blanche de Marie. Bref, la mante repose sur ses épaules et descend le long des bras et des hanches jusqu’au comment faire pour décrire la splendeur de cette robe très simple d’une blancheur éclatante ? En comparaison, la neige est grise et opaque, le lys moins beau. On dirait de l’argent devenu étoffe tant le blanc resplendit. Oh ! Impuissance de la parole à décrire la lumière ! Seulement au Ciel, et pour revêtir Marie, peut-il y avoir une étoffe d’un tel blanc phosphorescent, tel du diamant, perlé, opalescent, une pierre précieuse sans en être une et sans être le résultat d’une alliance de pierres précieuses pour resplendir ainsi !Je vois l’ovale plutôt rond du visage de Marie. D’une teinte d’ivoire comme certains pétales de magnolia ; le teint est pareil à celui de son Fils, mais la forme est différente, le visage de Jésus étant plus maigre et allongé. Sur le visage de fleur, seules les lèvres et les cils minces, à peine foncés, mettent un peu de yeux, non grands ouverts, mais à demi voilés par les paupières, ont le même regard que le Fils et sont de la même couleur bleue, mais plus pâle. En faisant une comparaison humaine comme d’habitude, on pourrait dire que Jésus a les yeux saphir et Marie turquoise. On remarque chez Marie le même regard sérieux et triste que chez Jésus, mais il est d’une tristesse qui s’unit au sourire le bon sourire de quelqu’un qui est affligé, mais qui veut consoler et encourager en même cheveux ont la couleur des blés mûrs ou de l’or pur, si vous préférez, tirant sur le blond roux, mais plus blonds que roux, tandis que les cheveux de Jésus tirent davantage sur le blond mains longues et fines, aux doigts très longs et fuselés, sortent des manches étroites, avec leurs poignets délicats et très blancs. Ce sont deux pétales de magnolia joints en prière. Il me semble qu’elles doivent sentir les fleurs, tant elles ressemblent à des boutons de bijou, absolument aucun. C’est toute la personne de Marie qui est une pierre précieuse d’une luminosité d’albâtre, ou mieux encore, d’opale illuminé de l’intérieur par une flamme. Son corps glorifié dégage de la lumière, une très douce lumière qui me fait vraiment penser à une lampe ardente devant le tabernacle une lampe d’albâtre blanc ou, je répète, d’ ne vois pas les pieds parce que la robe est tellement longue qu’elle les voilà que je vous ai décrit notre m’a tenu et me tient compagnie, et il me semble que tout autour de moi devient lumineux et virginal ; lumière et pureté descendent dans mon cœur et avec elles, une joie qui me fait pleurer de crois que si Marie disait un seul mot, mon âme s’évanouirait dans l’extase, parce qu’il n’y a qu’un fil qui m’empêche d’y sombrer, et cela juste parce que j’ai vu la Bénie et que je me suis senti embrasser par son sourire et son maintenant le soir, et je dis à Jésus Tu ne dis rien aujourd’hui, Seigneur ? »Il répond que c’est Marie qui me donne ma leçon d’aujourd’hui, et que la contempler n’exige aucune parole. En effet, la vision de Marie enseigne à elle seule la beauté de la pureté, de la prière et du silence. Trois grandes choses très peu et mal milieu de mes souffrances physiques et morales, je me trouve dans la joie, parce que la lumière de la plus belle Étoile, de Marie, brille sur moi et qu’il m’est donné de la tard...… et Marie me dit sans parler qu’elle m’enseigne une autre chose à voir ses enfants même dans les ennemis. Elle a donné son Fils pour eux aussi et elle les a acceptés comme ses enfants, ainsi qu’elle nous a acceptés. Elle me fait comprendre que, lorsque nous les regardons avec hargne, nous l’affligeons et nous devenons différents d’elle qui regarda avec une aimante compassion ceux qui crucifièrent son Fils et transpercèrent son cœur et humilité chez ses porte-parole reproche du Seigneur aux prêtres matérialistes et orgueilleux Le 20 septembre 1943Jésus dit Sais-tu pourquoi je t’ai choisie ? Parce que tu es un rien, et tu es convaincue de l’être, et parce que l’amour t’ vais cherchant humilité et amour pour déposer mes paroles et mes grâces et pour faire resplendir mes miséricordes, puisque le monde a toujours besoin de preuves de ma miséricorde pour conserver un minimum d’amour et de foi en autrefois, la formation de mon Église et la diffusion du Christianisme dans le monde avaient porté les fruits que la première floraison laissait espérer, il n’y aurait eu besoin de rien d’ donné à ceux qui croyaient en moi tout ce qui leur était nécessaire pour grandir toujours davantage dans la Foi et dans ma Doctrine. Et je l’avais donné dans une forme parfaite comme moi seul, le très Parfait, pouvais le faire. Or il est arrivé qu’avec le temps, ce que je vous ai donné n’a pas perdu son efficacité, mais votre faculté de comprendre s’est affaiblie en vous. Elle s’est affaiblie parce que la fumée de vos orgueils humains a assombri votre vue spirituelle ; votre ouïe spirituelle a été émoussée par le bruit de trop de paroles humaines ; votre goût spirituel, par la saveur de tant de corruption ; votre toucher spirituel, par l’abus de trop de contacts charnels ; votre odorat spirituel, par la perversion qui vous pousse à préférer ce qui est corrompu à ce qui est pur. Elle s’est affaiblie parce que vous avez écrasé votre esprit sous les pierres des sens, de la chair, de l’orgueil, du mal aux mille un ruisseau destiné à arroser les fleurs de vos âmes, j’avais fait jaillir ma Doctrine des Cieux, mieux encore, de mon cœur qui vous aime. Mais vous y avez lancé des pierres et des gravats, le subdivisant en mille filets d’eau qui ont fini par se perdre sans vous avoir été d’aucune utilité, à vous, chrétiens, qui avez plus ou moins renié le hérésies manifestes ont même oblitéré beaucoup de veines qui, partant de mon cœur, descendaient pour nourrir l’organisme de l’Église, une, catholique, romaine, universelle, et une grande partie de l’organisme n’est plus qu’un membre paralysé, mort à la vie, destiné à produire des cellules les petites hérésies individuelles — si nombreuses ! — se sont aussi propagées dans le noyau des catholiques. Et ce sont les plus pernicieuses, les plus condamnées. Car réfléchis bien si, à des années et des siècles de distance, on peut condamner jusqu’à un certain point les protestants, de quelque confession qu’ils soient, les orthodoxes et les orientaux qui suivent fidèlement ce que leurs ancêtres leur ont légué comme la vraie Foi, on ne peut pardonner à celui qui vit sous le signe de l’Église de Rome et qui se crée sa propre hérésie particulière, celle de sa sensualité, de son esprit, de son de compromis avec le Mal ! Combien de compromis que je vois et que je condamne !Quatre-vingt-dix pour cent des catholiques se préoccupent de tout excepté de la vie et de ma Foi. Alors j’interviens. J’interviens par mon enseignement direct qui se substitue, avec ses lumières et ses flammes, à tant de chaires trop glacées et trop sombres. J’interviens pour être le Maître à la place des maîtres qui préfèrent cultiver leurs intérêts matériels plutôt que vos intérêts spirituels et surtout les miens. Puisque je leur ai confié les talents vivants que vous êtes, âmes achetées avec mon Sang, vignes et greniers du Christ Rédempteur, non pour qu’ils les laissent improductifs et incultes, mais pour qu’ils consacrent toutes leurs énergies à les faire produire et bien, Maria, sais-tu qui sont les plus rétrogrades lorsqu’il s’agit d’accepter cette aide que j’apporte pour réparer les dommages causés par cette inanition spirituelle qui fait que vous, les catholiques, vous vous mourez ? Ce sont précisément mes prêtres. Les pauvres âmes dispersées dans le laïcat catholique accueillent avec dévotion ce pain que je romps pour les foules égarées dans le désert ; j’ai pitié d’elles car elles dépérissent. Mais pas les docteurs de ma logique, d’ailleurs. Comme il y a vingt siècles, ma Parole qui vous caresse, pauvres âmes, est un reproche pour ceux qui vous ont laissées vous appauvrir. Et le reproche pèse toujours, même s il est juste. Mais aujourd’hui comme il y a vingt siècles, je ne peux que leur répéter “Malheur à vous, docteurs de la Loi, qui avez usurpé la clé du savoir et n’y êtes pas entrés, et avez entravé ceux qui y entraient”.Ceux qui ne sont pas entrés, parce que vous leur aviez barré le chemin avec vos mesquineries et scandalisé leurs cœurs, qui vous regardaient comme leurs maîtres, parce qu’ils vous ont vus plus indifférents qu’eux-mêmes aux vérités éternelles, ceux-là seront jugés avec vous, vous qui avez préféré l’argent, les honneurs, le confort, le profit de vos proches à ta mission d’être les “maîtres” au nom du Christ et pour continuer son enseignement ; mais vous qui êtes si sévères à l’égard de vos frères et sœurs, prétendant qu’ils donnent ce que vous ne donnez pas, et qu’ils fassent fructifier ce que vous n’avez pas semé en eux, alors que vous êtes si indulgents envers vous-mêmes ; mais vous qui ne croyez pas à mes manifestations, ces manifestations qu’au fond vous avez vous-mêmes provoquées, puisque c’est pour réparer les ruines causées par vous que je viens instruire les cœurs dispersés par te monde et observez que plus je viens et plus les temps se chargent d’hérésies ; mais vous qui raillez et persécutez mes porte-parole et les insultez, les traitant de “fous” et d’obsédés », comme vos lointains ancêtres firent avec moi ; vous serez traités avec les sens de l’âme avec le feu de l’amour et de la pénitence, et vous entendrez, vous verrez, vous goûterez, vous sentirez ma présence dans les paroles que je dis aux humbles et que je tais à vous, orgueilleux, car seulement celui qui a une âme d’enfant entrera dans mon Royaume, et je ne révèle les secrets du roi qu’aux petits, car le plus grand parmi vous, catholiques, n’est pas celui qui revêt un habit d’autorité, mais celui qui vient à moi avec un cœur pur, confiant comme un enfant, plein d’amour comme un nouveau-né pour la maman qui le les petits. Je les ferai grands au Ciel ! »Source des trois Gentils justes Le 22 septembre 1943 Il ressort de mon Évangile un enseignement pour vous, êtres humains divisés par la je t’ai laissée tranquille pour te donner le temps de changer tes pensées et ton regard oui, même le regard, car il y a des regards coupables à cause de la haine qui les remplit comme et plus que des paroles en filtrant les mouvements de ton cœur à travers l’enseignement très doux de tempêtes qui bouleversent un lac ne se calment pas d’un seul coup et surtout, lorsqu’elles se calment, l’apparence des eaux ne se rétablit pas immédiatement. La couleur et la limpidité de l’eau restent troublées pendant quelque temps, et seulement quand les vagues sont complètement calmées, même dans les profondeurs, l’eau s éclaircit-elle et revient-elle bleue et sereine comme le ciel. Il en va de même lorsque la haine s’engouffre avec son vent d’enfer dans un cœur. Il faut du temps pour que l’âme se purifie de ses toxines bien, Maria, que je comprends que, sous l’effet de certains agents douloureux, il est humain que la haine surgisse. Mais vous n’êtes pas seulement humains. Même que votre humanité est une phase transitoire de votre vie, tandis que le surhumain ne connaît pas l’éphémère, puisque du moment où vous êtes créés par le Père, vous êtes et serez toujours, dans la lumière ou dans les ténèbres selon vos actions sur terre, non pas jusqu’à la fin du monde, mais dans l’éternité qui n’a pas de terre ! La longue vie, vie millénaire des dizaines et des dizaines de fois de la terre chrétienne et la vie sept fois millénaire de la Terre, planète créée par le Père, que sont-elles dans mon temps à moi ? Un instant d’ tu étais en train de te purifier et je t’ai laissée plongée dans ce travail nécessaire à tous et en particulier à mes bien-aimés parce que je ne peux m’arrêter là où règne la haine. Souviens-t’en toujours, fût-ce la plus compréhensible et humainement juste des haines. Et je parle pour toi et pour tout le dont je te parle et que vous donne mon Évangile, et sur lequel vous méditez peu ou pas du tout, est un enseignement de haute charité. Il y a trois épisodes qui vous le donnent. Ils vous sont expliqués d’autres façons, mais moi, en cette heure de haine entre les races du monde, je vais vous l’expliquer à ma façon une façon sur laquelle vous auriez grand besoin de méditer afin de sortir de ce guêpier d’enfer en lequel vous avez transformé la centurion qui implore pour son serviteur paralysé, la femme cananéenne dont la réponse est un cri de confiance sans limites, la femme de Ponce Pilate. Trois Gentils, trois personnes en dehors de la Loi du Père. Mais qui, parmi les descendants d’Abraham, parmi ceux qui vivaient dans la Loi donnée par le Seigneur à son prophète au milieu des foudres du Sinaï, qui avait un cœur pareil à ces trois cœurs ? Ils ont cru en moi plus que mes compatriotes, ils ont reconnu qui j’étais à la lumière de leur foi, et leur foi a été je veux que cela vous persuade que, dans toutes les races, dans toutes les nations, il y a des bons, des enfants de Dieu inconnus, puisque celui qui croit en moi et me cherche avec un cœur pur est mon enfant. Je n’avais pas trouvé, même en Israël, autant de foi que je trouvai en ces trois cœurs qui vinrent à moi sans que je les appelle matériellement. Et comme ces frères et sœurs lointains, il y en a tellement parmi les vivants !Ne jugez pas, mes enfants, et ne méprisez pas. Aimez seulement, aimez tout le monde ; vous avez tous le même Père Créateur, souvenez-vous-en ; vous êtes donc frères et sœurs. Une seule poussière vous a formés et un seul souffle vous a alors tant de haine les uns envers les autres ? Ne soyez pas durs envers les autres. Regardez Jésus, le Maître qui ne se trompe pas et qui n’a pas repoussé le centurion païen et la cananéenne qu’on avait jugée, en Israël, lépreuse dans l’ garde que ce ne soit Dieu qui vous juge tels, vous qui êtes infectés de cruauté, de fraude, de luxure et d’orgueil. Purifiez-vous au feu de l’amour. C’est l’eau lustrale qui rend votre âme blanche de nouveau et le toucher qui ouvre vos yeux aveuglés, vos oreilles bouchées, qui donne la vie à votre esprit paralysé et vous rend capables de comprendre ce que le divin Esprit dit à votre esprit, qui a besoin de tant de lumière et de nécessités l’amour et la pénitence Le 23 septembre 1943 Jésus dit “Je reviens à une des notes dominantes de mes paroles. Il y en a deux, Maria. La première est la nécessité de l’amour ; la deuxième, la nécessité de la Dieu Unique en Trois Personnes vous avait créés en vous donnant un royaume où tous étaient vos sujets et dont la souffrance était bannie, un royaume où la mort ne venait pas tronquer la vie de vos êtres les plus chers, dans l’effroi des mourants et les gémissements des survivants, mais seulement une dormition, comme celle de Marie, qui permettait de franchir, dans les paisibles brumes d’un sommeil innocent, les portes qui s’ouvraient si facilement sur le paradis terrestre pour laisser entrer à flots la lumière du plus haut Paradis et la voix paternelle du Seigneur qui trouvait sa joie à être avec ses enfants. En vérité, ce Dieu avait établi une seule nécessité celle de l’amour. L’amour des enfants pour leur Père, l’amour des sujets pour leur Roi, l’amour des créatures pour leur Dieu si l’acide de votre faute n’avait pas rongé les racines de l’amour, il aurait poussé et serait devenu fort en vous, sans exiger d’effort de votre part. Non pas source de peine, mais de joie pour vous, un besoin dont l’exercice soulage, comme la respiration. Et effectivement, l’amour était destiné à être la respiration de votre esprit, le sang de votre vint la faute. Oh ! La ruine de la faute !Vous que les ruines de vos palais, de vos temples, de vos ponts, de vos villes remplissent d’horreur, vous qui maudissez les explosifs qui brisent, lézardent, réduisent tout en poussière, ne mesurez-vous pas quelle ruine a provoquée la faute dans l’être humain ? L’être humain, l’œuvre la plus parfaite de la création, façonné, non par main humaine, mais par l’Intelligence éternelle, laquelle vous a coulés, tel un métal sans scories, dans son propre moule pour ainsi dire, et vous en a tirés formés à son image et à sa ressemblance, si beaux et si purs que l’œil de Dieu se réjouit devant son œuvre et les Cieux tressaillirent d’admiration, et la Terre chanta d’une voix très haute, dans l’harmonie des sphères, la gloire d’être la planète qui, aux origines de l’Univers, devenait l’immense palais de l’humain-roi, enfant de faute, plus néfaste que n’importe quelle dynamite, a tout bouleversé aux racines mêmes de l’être humain. Et sais-tu où elles se trouvaient ? Dans la pensée de Dieu, qui avait fait l’être faute a bouleversé aux racines de l’être humain, cet ensemble parfait de chair et d’esprit ; d’une chair qui n’était guère dissemblable, dans les mouvements du sentiment, de l’esprit dont elle n’était pas le contraire, encore moins l’ennemie, mais à peine plus pesante que lui ; d’un esprit qui n’était pas prisonnier, tourmenté dans la prison de la chair, mais jubilant dans la chair docile qu’il guidait vers Dieu, car étant une molécule de l’esprit de Dieu, il était attiré par Dieu comme par un aimant divin, en vertu des rapports d’amour entre le Créateur, le Tout, et l’esprit, la faute a bouleversé le milieu harmonieux que Dieu avait créé autour de son enfant pour qu’il fût roi, et roi fois tombé l’amour de l’être humain envers Dieu, l’amour de la Terre envers l’être humain tomba aussi. La barbarie se déchaîna sur la Terre entre les créatures inférieures, entre elles et l’être humain, et horreur suprême, entre les êtres humains. Ce sang, qui ne devait être chaud que de l’amour de Dieu, s’échauffa de haine, bouillonna et coula goutte à goutte, contaminant l’autel de la Terre où Dieu avait mis ses premiers enfants pour qu’ils l’aimassent en s’aimant et qu’ils enseignassent l’amour aux futurs humains le seul rite que Dieu voulait d’ voilà que, de la graine de la faute, naquit une plante, une plante aux fruits amers et aux branches piquantes la fut d’abord la douleur telle que l’humain pouvait la subir dans sa spiritualité embryonnaire contaminée une douleur animale faite des premières douleurs de la femme et des premières blessures infligées à la chair fraternelle, une douleur féroce de hurlements et de malédictions, semence de vengeances toujours renouvelées. Puis, se raffinant en cruauté mais non en mérite, la douleur aussi évolua, devenant plus vaste et plus suis venu sanctifier la douleur, subissant la Douleur pour vous et fondant vos douleurs relatives à ma douleur infinie, donnant ainsi mérite à la suis venu confirmer par ma vie et ma mort l’avertissement donné à plusieurs reprises par mes prophètes ce que Dieu exige pour pardonner à ses enfants de plus en plus coupables et pour les bénir, ce n’est pas la circoncision matérielle, mais la circoncision des cœurs, de vos sentiments, de vos impulsions que le germe du premier péché transforme toujours en impulsions de chair et de sang ou de la plus haute luxure celle de l’ c’est là, mes enfants, que vous devez travailler avec le fer et le feu pour marquer dans votre âme le signe qui sauve, le signe de Dieu. C’est là, mais non avec le fer et le feu de vos lois féroces et de vos guerres maudites. C’est là à l’endroit où se forment les lois et les guerres des humains, car il est inutile de dire le contraire. Si vous viviez dans le signe du Seigneur, spirituellement circoncis pour enlever ce qui apporte des impuretés de tout genre, vous ne seriez pas ce que vous êtes des insensés, pour ne pas dire des fauves. Et note bien qu’il y a peu de différence entre les insensés et les fauves, car tous deux sont dénués de raison, c’est-à-dire de ce que Dieu a mis dans l’humain pour le faire régner sur tous les êtres de la humain est soumis à deux nécessités l’amour et la douleur. L’amour qui vous empêche de faire le mal, la douleur qui répare le la science qu’il faut apprendre savoir aimer et savoir souffrir. Mais vous ne savez pas aimer et vous ne savez pas souffrir vous savez faire souffrir, mais ce n’est pas de l’amour, c’est de la êtes-vous si savants dans le mal et si ignorants dans le bien ? Pourquoi ? N’êtes-vous jamais assouvis de haine et de cruauté ? Et vous voulez que Dieu vous pardonne ?Revenez à l’amour, mes enfants, et sachez supporter la douleur. Et si vous n’êtes pas mes enfants au point de souhaiter la douleur afin d’expier les péchés d’autrui, comme je sus le faire, soyez mes enfants au moins assez pour ne pas me maudire pour la souffrance que vous avez engendrée et dont vous m’ votre sot orgueil ! Apprenez du publicain à reconnaître combien vous êtes indignes, à quel point vous vous êtes rendus indignes de vivre sous le regard qui est votre protection. Jetez loin de vous les vaines soifs de la terre et approchez-vous de la Source de Vie qui depuis vingt siècles coule pour vous. Injectez la Vie dans vos cœurs qui se meurent dans la gangrène du péché ou s’étiolent dans l’ à vos sépulcres. Je suis le Christ, celui qui vient vous ne demande qu’à être appelé pour accourir et dire Sors’. De la mort. Du mal. De l’égoïsme, de la luxure, de la haine maudite qui consume sans vous donner la joie. Sors’ de tout ce qui est horreur pour entrer en moi, pour entrer avec moi dans la Lumière, pour renaître dans l’Amour, pour connaître la vraie science, pour obtenir la paix et la vie, lesquelles, étant de moi, ont de moi l’éternité.” Jérémie, chapitre 4, 4-22Source L’imitation du Christ dans la souffrance, la douceur et l’humilité pour combattre l’orgueil, la colère et la luxure, oeuvres de Satan Le 24 septembre 1943 Jésus dit Courage, Maria. Pense que tu subis les douleurs de mon agonie. Moi aussi, j’avais très mal aux poumons et au diaphragme, et chaque respiration, chaque mouvement, chaque battement était une nouvelle douleur qui s’ajoutait à la douleur. Et je n’étais pas comme toi sur un lit, mais grevé d’un poids dans des rues qui grimpaient. Et puis, suspendu, sous le soleil, avec une fièvre si forte qu’elle battait dans mes veines comme d’innombrables ce n’étaient pas là les pires souffrances. Plus torturante encore était l’agonie du cœur et de l’esprit. Et le plus grand tourment de tous était la certitude que, pour des millions et des millions d’humains, ma souffrance était inutile. Et pourtant cette certitude n’a pas diminué d’un atome ma volonté de souffrir pour ! Douce souffrance, Maria, parce qu’offerte au Père en réparation et pour votre salut ! De savoir que mon Sang lavait le signe qui était resté sur vous, offense de la race humaine envers Dieu, laquelle resterait éternelle, et que ma mort vous redonnait la Vie. De savoir, une fois passée l’heure de la Justice, que l’Amour vous regarderait à travers moi, l’Immolé, avec amour. Tout cela introduisait une source de baume dans un océan d’une telle amertume que la plus grande des amertumes subies sur terre, depuis que l’être humain existe, est à peine plus qu’un rien, car sur moi pesaient les fautes de toute l’humanité et la colère dit “Soyez semblables à moi qui suis doux et humble de cœur”. Je l’ai dit à tous car je savais que dans mon imitation se trouvait la clé de votre bonheur sur cette Terre et au subissez toutes les ruines qui vous accablent parce que vous n’êtes pas humbles et vous n’êtes pas doux. Ni dans les familles, ni dans vos occupations et professions, ni dans le cadre plus vaste des Nations. L’orgueil et la colère vous dominent et sont la cause de tant de vos troisième agent de crimes est votre luxure ; cela peut vous sembler chose individuelle, mais la luxure et les deux premiers agents impliquent un très, très grand nombre d’individus, des continents entiers ; parfois ils bouleversent la Terre uniquement par le fait qu’ils ont atteint la perfection du mal dans l’âme de quelques enfants de Satan, lesquels lui obéissent pour pouvoir remplir de moissons maudites les greniers de leur en vérité, je vous dis qu’en ce moment, par ordre du père du mensonge, ses enfants moissonnent parmi les âmes qui avaient été créées pour moi et que j’ai inutilement fertilisées de mon Sang. Moisson plus abondante qu’aucune espérance diabolique ne puisse concevoir ; les Cieux frémissent devant les pleurs du Rédempteur qui voit la ruine des deux tiers du monde chrétien. Et deux tiers, c’est peu dit à tous “Soyez doux et humbles de cœur pour être semblables à moi”. Mais à mes enfants bien-aimés, mes enfants bénis, chéris de mon cœur à mes petits rédempteurs, dont la stillation du sacrifice fait que la source rédemptrice, jaillie de mon corps vidé de son sang, continue de couler, à ceux-là je dis, et je le dis en les serrant sur mon cœur et posant un baiser sur leur front “Soyez semblables à moi qui fus généreux dans la souffrance par le grand amour qui m’inspirait tout entier”.Plus on aime et plus on est généreux, Maria. Monte. Touche au sommet. Je t’attends là-haut pour t’amener avec moi au Royaume de l’Amour. »Source Condamnation de l’adultère. Encouragement à la chasteté Le 25 septembre 1943 Jésus dit Tu pourras t’étonner que je te parle à ce sujet, toi qui es célibataire. Mais tu n’es que mon porte-parole et tu dois donc te plier à transmettre n’importe quoi. Ce que je vais te dire maintenant servira aux autres. Ça servira à corriger plusieurs erreurs de plus en plus enracinées dans le monde se divise en deux catégories. La première, qui est très vaste, est celle des gens sans scrupules d’aucune sorte, ni humains, ni spirituels. La seconde est celle des timorés, laquelle se subdivise cependant en deux classes ceux qui sont timorés avec raison et ceux qui le sont par petitesse d’esprit. Je parle ici à la première catégorie et à la deuxième classe de la seconde mariage n’est pas réprouvé de Dieu, si bien que j’en ai fait un sacrement. Et ici je ne parle même pas du mariage comme sacrement, mais du mariage comme union, telle que Dieu l’a faite en créant le mâle et la femelle pour qu’ils s’unissent, formant une seule chair, dont aucune force humaine ne peut, ni ne doit diviser l’ votre dureté de cœur, toujours plus grande, j’ai changé le précepte de Moïse, lui substituant le sacrement. Le but de cet acte était d’apporter une aide à votre âme d’époux contre votre sensualité animale et de freiner la facilité illicite avec laquelle vous répudiez ceux que vous avez d’abord choisis pour passer à de nouvelles unions illicites, au détriment de vos âmes et des âmes de vos qui se scandalisent d’une loi créée par Dieu pour perpétuer le miracle de la création se trompent sérieusement et généralement ce ne sont pas les plus chastes, mais les plus hypocrites, parce que les chastes ne voient dans l’union conjugale que la sainteté de son but, tandis que les autres ne pensent qu’à la matérialité de l’acte — tout comme ceux qui, avec une coupable légèreté, croient pouvoir outrepasser impunément mon interdiction de passer à de nouvelles amours, à moins que le premier lien ne soit dénoué par la et maudit est celui qui brise une union, d’abord souhaitée, par un caprice de la chair ou intolérance morale. Si elle ou lui disent que leur union est désormais pour eux un poids ou une source de répugnance, je leur dis que Dieu a donné aux êtres humains l’intelligence et la faculté de réfléchir pour qu’ils s’en servent, et surtout dans des situations d’une aussi grave importance que la formation d’une nouvelle famille ; je dis encore que si, dans un premier temps, on a pu commettre une erreur par légèreté ou calcul, il faut ensuite supporter les conséquences, afin de ne pas provoquer des malheurs plus grands qui retombent surtout sur le meilleur des deux époux et sur les enfants innocents, lesquels seront amenés à des souffrances plus grandes que la vie ne comporte et à juger ceux que j’ai placés au-dessus du jugement par précepte le père et la mère. Je dis enfin que la vertu du sacrement, si vous étiez de vrais chrétiens et non ces bâtards que vous êtes, devrait agir en vous, les époux, pour faire de vous une seule âme qui aime en une seule chair, et non deux bêtes féroces qui se haïssent attachées à une seule et maudit est celui qui, dans une comédie obscène, vit deux ou plusieurs vies conjugales, et rentre auprès de son époux et de ses enfants innocents, la fièvre du péché dans le sang et l’odeur du vice sur ses lèvres ne rend licite l’adultère. Rien. Ni l’abandon, ni la maladie du conjoint, et encore moins son caractère plus ou moins odieux. La plupart du temps, c’est votre être luxurieux qui vous fait voir votre compagnon ou votre compagne comme étant odieux. Vous voulez les voir comme tels pour justifier à vous-mêmes votre comportement honteux que vous reproche votre dit, et je ne change pas mes paroles, qu’est adultère non seulement celui ou celle qui consomme son adultère, mais aussi celui ou celle qui, dans son cœur, désire le consommer et regarde avec l’appétit des sens la femme ou l’homme qui n’est pas son dit, et je ne change pas mes paroles, qu’est adultère celui qui, par sa façon d’agir, met son conjoint dans les conditions d’être adultère à son tour. Deux fois adultère, il répondra de son âme perdue et de celle qu’il aura menée à sa perte par son indifférence, sa négligence, sa grossièreté et son malédiction de Dieu plane sur tous ces adultères, et ne pensez pas que ce ne soit qu’une façon de monde tombe en ruines, car les premières à être détruites furent les familles. Les levées du fleuve de sang qui vous submerge ont été effritées par vos vices particuliers, lesquels ont poussé les gouvernants à tous les niveaux — des chefs d’état aux chefs de village à devenir des voleurs et des tyrans pour obtenir l’argent et les honneurs à leurs l’histoire du monde elle est pleine d’exemples. La luxure fait partie de la triple combinaison qui provoque votre ruine. Des états entiers ont été détruits, des nations arrachées au sein de l’Église, des scissions séculaires créées au scandale et pour le tourment des races à cause de l’appétit charnel des il est logique qu’il en soit ainsi. La luxure éteint la Lumière de l’esprit et tue la Grâce. Sans la Grâce et la Lumière, vous n’êtes pas différents des brutes et vous agissez donc comme des si c’est ça qui vous plaît. Mais souvenez-vous, êtres vicieux qui profanez les maisons et les cœurs des enfants par votre péché, que je vois et je me souviens, et que je vous attends. Dans le regard de votre Dieu qui aimait les tout-petits et qui a créé la famille pour eux, vous verrez une lumière que vous ne voudriez pas voir et qui vous foudroiera. »L’auteur ajoute au crayon Saint Marc, chapitre 10, v. de saint Marc, chapitre 10, versets 5 à 16Source Merci Anayel pour ces belles pages à méditer sur cette magnifique vertu de la chasteté !En ce jour de Sainte Marie Reine ancienne fête du cœur Immaculé de Marie méditons bien sur ce trésor devertu, désirons la sans faille, puis cultivons la par nos prières et nos bonnes attitudes !Merci Sous l'aile pour ton post et pour avoir mis une vidéo thématique sur la chasteté C'est en effet une très belle vertu qu'on doit cultiver, dans notre coeur, dans notre esprit, et dans notre corps !Tu verras qu'on continue sur ce sujet avec la leçon qui édition par Anayel le Lun 22 Aoû - 2158, édité 1 foisLa chasteté des époux, créateurs avec le Père. Encouragement à la chastetéLe 26 septembre 1943 Luc 15, 11-32 - Parabole du fils prodigueJésus dit Vous avez lu dans mon Évangile la dégradation de l’enfant prodigue qui a dilapidé dans le vice les richesses reçues de son père et se réduit à garder les porcs. Mais pensez-vous que ce soit le maximum de l’abjection ?En vérité, je vous dis que s’il vous était accordé de comparaître devant moi avec votre corps et vos vêtements, et que l’un de vous montait à moi, porté par la mort, dans le vêtement le plus crasseux d’un porcher qui serait tombé mort dans l’étable au milieu des ordures, il répugnerait moins aux célestes habitants de mon Royaume et susciterait moins mon mépris que l’apparition de l’âme contaminée par les vices de la crasse du premier est une crasse qui périt et qui n’est jamais jugée sévèrement le fruit de son pénible travail attire, au contraire, la bénédiction divine sur l’honnête gardien de troupeaux. La crasse du deuxième est une crasse qui ne périt pas une lèpre a recouvert l’âme de gangrènes fétides qui l’ont rongée sans limites dans le temps. L’âme du vicieux impénitent est digne de Satan dans les siècles des lorsque je dis “vicieux”, je ne me réfère pas seulement à certaines formes de vice que vous-mêmes jugez comme telles. Vous les jugez comme telles et vous les pratiquez quand même parce que vous êtes des sots et vous ne savez pas réagir aux tentations du mal. Vous n’avez pas en vous ma Foi. Si vous l’aviez, vous vaincriez la chair. Mais vous ne l’avez pas, et les sens prédominent sur l’âme. Lorsque je dis “vicieux”, je me réfère aussi aux vices cachés de votre sensualité, par lesquels vous transformez le mariage en une prostitution et détruisez la raison pour laquelle il a été ne fit pas le mâle et la femelle pour qu’ils atteignent la fatigue et la nausée dans leurs vices. Il les a faits pour une raison très haute. Quand il a dit “Faisons l’homme à notre image et à notre ressemblance et donnons-lui un soutien pour qu’il ne soit pas seul”, il sous-entendait dans sa divine pensée qu’outre la partie spirituelle et intellectuelle, qui vous rend semblables à Dieu, vous lui ressembliez dans la création d’autres vies. Mais vous rendez-vous compte de la ressemblance sublime que Dieu vous a donnée ? Celle de créer d’autres créatures vous, hommes et femmes qui vous mariez, êtes aussi des créateurs, des créateurs d’êtres humains comme le Dieu bien, qu’avez-vous fait d’une telle mission ? Vous, les femmes, invectivez contre la faute d’Ève lorsque vous souffrez; vous, les hommes, vous maudissez la faute d’Adam quand vous peinez. Mais le Serpent n’est-il pas encore parmi vous, à l’intérieur de vos maisons, et ne vous enseigne-t-il pas, de son étreinte rampante et de son chuchotement baveux, l’immoralité qui vous fait répudier votre mission créatrice ? Et n’est-ce pas du vice que de se donner à la sensualité jusqu’à la nausée tout en se refusant à la paternité et à la maternité ?Soyez chastes si vous craignez de ne pas avoir vêtements et nourriture pour de futurs enfants. La chasteté n’est pas le monopole des vierges. La virginité est la quintessence de la chasteté, et elle est placée dans le cœur de ceux qui ont été élus pour suivre l’Agneau et pour parler un langage accordé à eux seuls. Mais si la blancheur éclatante des vierges se teint de la splendeur qui émane du Verbe de Dieu et de la très pure Mère du Verbe, l’étole des saints époux qui surent être chastes se dore de la lumière qui émane du meilleur et du plus chaste et du plus saint des époux mon père putatif qui est le modèle de toutes les vertus chastes dans vos maisons comme à l’extérieur. Pensez qu’on ne cache rien à Dieu. Laissez aux enfants de Satan certains crimes occultes. Ne soyez pas inférieurs aux bêtes qui comprennent la beauté de la procréation et qui savent se mettre un frein quand la mauvaise saison priverait leurs petits de et aimez-moi en pensant, non pas au jour si court d’ici-bas, mais au jour éternel, et faites qu’il soit plein de bénis dès maintenant, époux qui savez être saints et vivre dans ma Loi. Les anges viennent s’asseoir près de vos foyers et ne refusent pas de veiller sur votre repos, puisque rien en vous n’offense ces esprits lumineux qui voient mon visage et, bienheureux de sa Lumière, ne peuvent regarder ce qui est à l’opposé absolu de la vous, époux qui n’êtes pas comme cela, retournez sur le droit chemin. Ce n’est pas en refusant à la vie de naître que vous allez augmenter vos richesses. Celles-ci, comme à travers un crible défoncé, fuiront en mille filets, car d’autres vices et péchés donneront l’assaut à vos avoirs et vous serez pauvres en ce monde et au Ciel par votre de mes commandements et de mes paroles. Dieu s’occupe de ceux qui vivent en lui. »Source de la foi acceptation de la parole de Dieu dans son intégralité Le 27 septembre 1943 Jésus dit J’ai dit Si vous restez fidèles à ma Parole, vous serez vraiment mes disciples, vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres ».Rester fidèles à ma Parole signifie être fidèles au Christ, car la Parole du Père, c’est Jésus Christ, votre Rédempteur. En restant fidèles à ma Parole, vous restez donc fidèles à notre éternelle Trinité, car si vous aimez le Verbe, vous aimez aussi son Origine, et en l’aimant, vous aimez aussi le Saint Esprit qui, avec le Père, s’est occupé d’envoyer le Christ sur terre pour vous donner la doctrine de vie et de pourquoi n’est pas vraiment fidèle celui qui m’aime et n’aime pas mon Origine et n’aime pas mon Auteur, l’Amour ; car c’est l’Amour qui a engendré le Fils-Verbe, c’est l’Amour qui a engendré le Rédempteur aux humains en unissant les deux natures, humaine et divine, en un seul lien de feu dont est venue au monde la vraie qui n’aime qu’une seule Personne de la sainte Triade et n’aime pas les Deux autres n’est pas un vrai fidèle et manque à la charité et à la foi. En manquant à la foi, il manque aussi à la vérité, parce qu’il met en doute la vérité que je suis venu vous apporter et il refuse de la connaître en mettant une entrave à son quelle façon ? En refusant Dieu. Car Dieu est Charité, et celui qui connaît si peu la charité qu’il est incapable d’aimer ce que Dieu a fait et ce que Dieu a donné, comment peut-il dire d’être en Dieu ? Et s’il n’est pas en Dieu comme l’enfant dans le sein de son père, comment peut-il avoir en soi la capacité de comprendre le langage surnaturel du Père ?Voyez-vous que l’essence de la foi est comme un cercle merveilleux que rien n’interrompt et qui vous entoure d’une unique étreinte vitale ? Mais si vous le rompez violemment par orgueil mental, par dureté de cœur, par lourdeur charnelle, voilà qu’il présentera une lacune qu’aucune raison humaine ne saura il vous arrivera ce qui arrive toujours. Vous tombez précipitamment du gouffre ouvert par votre volonté qui n’accepte pas avec la simplicité des enfants ce que la Bonté vous dit de croire, et dans votre chute, vous ne vous arrêtez pas à la boue de la terre. Ce serait déjà une faute, car vous avez été créés pour le Ciel et non pour souiller votre âme dans la boue de la terre. Non, vous tombez plus loin que la terre, jusqu’aux royaumes de Satan, car celui qui vit détaché de Dieu, en marge de sa Parole et de son Amour, tue la Vie en lui et son être vient alimenter l’horrible feu où rôde celui qui hait bien, mes enfants, qu’il suffit de rejeter une partie de la vérité pour faire le chaos en vous, qu’il suffit d’accueillir une vérité en moins pour que s’écroule tout l’édifice de la foi et que vous vous trouviez comme au milieu des décombres d’un palais démoli, plein de fosses et de pas justement ce que fait le monde moderne ? Ne choisit-il pas ce qui lui convient dans mes paroles et ne refuse-t-il pas le reste ? Ne croit-il pas à des points particuliers en niant les autres ? Mais réfléchissez, enfants de mon amour. Se peut-il que je sois venu vous dire des paroles inutiles ? Des paroles mensongères ? Des paroles impossibles à croire ou à mettre en pratique ?Non, enfants de ma douleur. Je n’ai pas dit une seule parole qui soit inutile et je n’en dis pas. Je n’ai pas dit une seule parole qui ne soit pas vraie et je n’en dis pas. Je n’ai pas dit une seule parole qui soit impossible à l’esprit – j’entends l’esprit qui est engendré par Dieu et qui est une partie de Dieu lui-même enfermée en vous – que l’esprit ne puisse croire. Je n’ai pas dit une seule parole que vous ne puissiez pratiquer, si seulement vous voulez le faire, parce que je suis Intelligent, Juste, Bon, et je ne donne pas d’ordres sots ou de poids supérieurs à vos forces, et je n’ai pas d’exigences dont la sévérité contraste avec la fidèles, chers enfants. Acceptez ma parole sans vouloir la critique et là où votre faiblesse n’arrive pas à comprendre, adressez-vous à moi, Lumière du la millionième fois, moi, votre Dieu, je vous assure que je ne veux pas votre ruine mais votre salut, et comme une couveuse anxieuse pour ses petits, je vous tiens embrassés, car votre vie éternelle me tient à cœur. Ne quittez pas mes bras. Moi, fidèle à mes enfants, et vous, fidèles à sera beau le jour où, après s’être aimés à travers de si grandes étendues d’éther, vous viendrez à moi pour toujours et nous pourrons nous aimer pour l’éternité lumières revenues à la Lumière, vies revenues à la Vie, esprits revenus à l’Esprit, enfants revenus au Père, exilés revenus à leur Patrie, héritiers d’un Roi élevés au Royaume de votre Dieu, Roi des rois et Seigneur de l’Univers. »Source un exemple de foi limitée Le 28 septembre 1943Jésus dit Nous avons en Pierre un exemple de foi limitée et des conséquences que cela peut n’avait pas encore accepté totalement ma Parole, à cause de la lourdeur de son être que l’Esprit Saint n’avait pas encore enflammé et que mon Immolation n’avait pas fortifié, mon Immolation qui allait descendre sur lui comme sur tous les autres — car je l’aimais beaucoup mon Pierre, généreux, impulsif et si humain aussi, qui possédait tant de qualités et tant d’humanité, vrai champion de l’homme humainement bon et qui, pour devenir saint, doit insérer sa bonté dans la Bonté de Dieu. Son propre grand amour pour moi qui l’ai absous de toute faute le portait à refuser ces vérités de sang que j’annonçais comme m’étant réservées.“Seigneur, que cela ne soit jamais”, avait-il dit une fois. Et même si, après mon reproche, il ne l’avait plus répété, au fond de son cœur il se révoltait à l’idée que son Seigneur était destiné à un sort si affreux et que le royaume de son roi aurait la cime d’une montagne pour palais et une croix pour au contraire, acceptait tout ; le cœur broyé, mais un cœur d’enfant pour qui la parole de celui qui l’aime est l’absolue vérité, il inclinait la tête et le cœur devant les prédictions de son Jésus et se préparait, avec une fidélité absolue à la vie, à être fidèle au Maître, même à l’heure de la le pur et aimant croyant, resta fidèle. Pierre me renia, lui qui ne voulait accepter de la Vérité que ces vérités qui séduisaient son esprit, encore trop amalgamé à la chair. Et sa faute en cette heure fut un manque de courage, mais aussi et surtout un manque de avait cru en moi très fidèlement, il aurait compris que son Maître n’était jamais autant Roi, Maître et Seigneur qu’en cette heure où il semblait être un délinquant alors atteint le sommet de l’enseignement parce que j’ai fait de mon enseignement, non plus une théorie, mais un fait alors assumé mon règne sur tous ceux qui furent, qui étaient et qui seraient, et j’ai mis la pourpre et la couronne qui n’avaient pas d’égal en splendeur, puisque la première venait du sang d’un Dieu et la deuxième était le témoignage de la force à laquelle parvient l’amour de Dieu pour vous, de Dieu qui meurt du martyre pour sauver les humains des martyres alors repris pleinement et complètement mon rôle de Seigneur du Ciel et de la Terre, car seul le Seigneur du Ciel pouvait donner satisfaction au Seigneur Dieu, et seul le Seigneur de la Terre pouvait effacer la faute de la Terre mon rôle de Seigneur de la Vie et de la Mort, car j’ai commandé à la vie de rentrer en vous et à la mort de ne plus tuer. Je parle de la vie et de la mort de l’esprit, car à mes yeux n’a de la valeur que ce qui est bienheureux, bienheureux ceux qui savent vraiment croire en moi. Toujours. Quoi qu’il arrive et sous quelque lumière que ça se présente. Si une ombre se lève, tel un mur noir et rugueux pour effrayer votre âme, n’oubliez jamais que, derrière l’obstacle qui ne dure qu’un moment, Dieu, sa Lumière, sa Vérité demeurent, toujours pareils et opérant pareillement à votre de tout votre cœur et votre esprit, et vous saurez agir en vrais disciples. En agissant de cette façon, vous posséderez la Vérité. Et la Vérité, qui résidera comme la vie au centre de votre être, vous conduira à la Vie. »Source renieurs de Dieu Le 29 septembre 1943 Jésus dit Il y a toujours eu des “Pierres” et il y en a beaucoup. Ils voudraient de moi des dons de bien-être terrestre que je n’ai jamais promis, car je vous oriente vers le ciel et non vers les choses d’ici-bas, et tout ce que je vous accorde de bonheur terrestre est un surplus que vous ne méritez pas et ne pouvez exiger, et que je vous donne uniquement parce que les quatre-vingt-dix pour cent des humains sont tellement de chair et de sang que, sans dons de cette terre, ils se révolteraient tous contre vous révoltez aussi, ô enfants ingrats, en me blâmant pour le mal que vous créez vous-mêmes. Si au moins vous saviez supporter avec résignation le mal qui est l’œuvre de vos mauvaises actions, de vos luxures, de vos actes de violence et de vos dérèglements, de vos usures et de vos fraudes ! Si vous saviez supporter en disant “Nous l’avons bien mérité”, ce mal se transformerait en bien, car Dieu aurait pitié de votre conduite si je vous voyais humblement reconnaître vos torts, en subir les conséquences avec résignation, tourner vers moi, avec piété filiale, un regard plein de larmes et des paroles suppliantes, j’interviendrais pour vous sauver de nouveau, moi qui suis venu chercher et sauver ce qui était perdu, et qui n’ai pas perdu ni ne perdrai au cours des siècles atomes de mon éternité ma soif de vous apporter le salut et le bien. J’interviendrais pour vous sauver de nouveau, faisant déborder mon amour et ma miséricorde sur ma justice qui me blesse, moi avant vous, croyez-le, mes pauvres enfants, car d’avoir à vous punir, ou à vous laisser vous punir vous-mêmes par des souffrances provoquées par la dureté de votre cœur et la sottise de votre esprit, constitue une douleur pour votre Jésus, dont le nom est “Sauveur” et non Justicier ; une douleur pour Jésus qui, afin de vous sauver, a opéré, avec le Père et l’Esprit, ce miracle d’indescriptible, d’incommensurable amour, qui a figé les Cieux dans une stupeur révérencielle et a fait trembler les abîmes infernaux et arrêter pendant une heure la course des astres et les lois de l’univers le miracle par lequel la Deuxième Personne se détacha de la Divine Trinité pour descendre des cieux, Lumière éternelle, cœur de Dieu, pour devenir cœur d’homme dans le sein d’une Vierge et lumière aux humains qui avaient éteint la lumière en voient que je ne leur donne pas ce que leur humanité désire, ces nouveaux et nombreux Pierres — et le monde n’en a jamais été aussi plein que maintenant — en arrivent à croire que je ne suis point celui que je dis être, c’est-à-dire le Puissant. Et devant ce qu’ils croient être mon impuissance, ils jugent que cela ne vaut pas la peine de me suivre et ils me renient, exactement comme Pierre en cette heure où les apparences étaient contre pourtant, mes pauvres enfants, ces heures où, humainement, je semble être absent, sont précisément celles où je me penche sur mes enfants et je travaille pour eux. Si vous n’aviez pas en vous un esprit contraire à Dieu, et souvent déjà possédé par Satan, vous sentiriez ma présence invisible et mon désir de vous aider. Mais vous me fuyez. Vous préférez vous donner à un ami d’une heure qui séduit votre chair avec des satisfactions d’une douceur superficielle, mais qui sont toxiques en profondeur et vous nuisent comme un poison mortel. Vous préférez vous livrer, pieds et mains liés, à l’Ennemi à l’ reniez non seulement votre Dieu, mais votre dignité d’êtres humains, votre intelligence qui vous rend semblables à Dieu au-dessus de tous les animaux créés par le Père, les seuls capables de penser et d’agir, non avec l’instinct rudimentaire des bêtes, mais avec un splendide intellect qui vous élève à des sphères très proches des nôtres. Oh ! Oui, voilà ce qui vous rend semblables à nous, et non la connaissance du mal ! Mais vous écoutez toujours le sifflement du serpent et vous voulez connaître le mal aussi pour être semblables à Dieu. Ô sots que vous êtes, trois fois sots !Dans sa parfaite essence, Dieu peut connaître le Mal, car le mal n’a pas de pouvoir sur Dieu. Mais pas vous. Vous n’êtes pas parfaits et le mal ne vous’ laisse pas indifférents, quand vous voulez l’investiguer, le connaître et y goûter. D’avoir mâché de cette expérience condamna l’humain au travail, la femme à la maternité dans la douleur, la race à la souffrance et à la mort. Mais non encore persuadés, vous voulez toujours de cette nourriture d’enfer, et elle ne cesse d’évoluer en vous et d’engendrer des œuvres maudites qui augmentent la souffrance et la mort, les fatigues, la faim et toutes sortes de punitions sur cette terre et au-delà, car, je le répète, vous m’accusez d’être l’auteur du mal que vous faites et vous me maudissez pour ce dont je suis sortez de Dieu avec colère, enfants aveuglés par votre hargne, et vous tombez dans l’étang de Satan. Vous êtes dans son étang jusqu’au cou et vous ne voulez pas vous agripper à la Foi, amarre spirituelle que la Bonté divine vous a jetée, à vous vous aviez cette vraie Foi, celle que je vous dis que vous devriez avoir, aucune preuve du contraire ne pourrait vous la faire perdre, et vous vaincriez l’adversité parce que vous forceriez les portes de la Miséricorde divine, si peu fermées et qui ne demandent qu’à être ouvertes, et vous barricaderiez celles de la Justice, ouvertes pour punir vos crimes et que nous désirons fermer par l’amour infini que nous avons pour devez-vous faire pour ceux qui me renient ? Ce que je fis pour Pierre pleurer et prier pour me les n’est pas à vous de vous choisir une place au Ciel ; je l’ai dit à Jacques et à Jean et je vous le dis à vous aussi. Mais faites en sorte que par vos œuvres vous en méritiez une. Et vous savez quelles œuvres il faut accomplir pour mériter une place dans mon Ciel. Vous n’avez qu’à regarder votre Jésus pour savoir comment agir. Charité, charité, surtout de la charité. Me voir en tous, moi, votre Dieu, servir ses frères et sœurs comme je vous ai servis jusqu’à l’holocauste de ma vie pour arracher des âmes à dit “des âmes”. Je n’entends pas par là que vous ne devez pas avoir de la charité aussi pour les corps de vos frères et sœurs. Les œuvres de miséricorde corporelle servent à ouvrir la voie à la plus haute œuvre de miséricorde qui est celle d’étancher la soif et de satisfaire la faim des âmes assoiffées et affamées, d’habiller les âmes nues, de prendre soin des pauvres âmes de vos pauvres frères et sœurs qui se sont éloignés de ma Bergerie ou qui ont grandi en dehors, et qui meurent au à vous, chrétiens, et surtout à vous, mes victimes aimantes, bénies et bien-aimées, fleurs vivantes qui exhalez pour moi tout votre esprit de fleur et qui vivrez au Ciel, roses éternelles, c’est à vous, mes vrais amis, de me ramener ceux qui errent, sans juger s’ils méritent d’être dignes du n’est pas à vous de juger de la récompense ou du châtiment. Moi seul suis Juge. Il vous revient uniquement de ramener, avec mes propres armes, la prière et le sacrifice et, en dernier lieu, la parole, les enfants prodigues à la maison du Père, pour faire jubiler le cœur de Dieu et remplir les Cieux de joie pour un autre pécheur qui se convertit, laisse les ténèbres et revient à la Lumière, à la Vérité, à l’Amour. »Source signe du vrai disciple Le 30 septembre Jésus dit C’est le signe qui distingue les vrais disciples des vrai disciple n’a pas l’ambition d’être reconnu supérieur aux autres. Humble comme son Maître et comme ma très douce Maman, il voile ses pouvoirs surnaturels sous une apparence de vie ordinaire. Il souffre de voir qu’on a découvert sa vraie nature et, si c’était possible, il voudrait que personne ne s’en aperçût et surtout n’en faux disciple, au contraire, s’élève lui-même, se célèbre lui-même et attire l’attention de tous sur sa propre personne et sur ses actions, toutes pareillement hypocrites. Avec une fausse humilité, il s’arrange pour obliger tout le monde à le voir dans la lumière qui lui plaît, c’est-à-dire dans une lumière de sainteté, laquelle est en fait un double péché de mensonge et d’orgueil. Mais, ma fille, il est aussi différent d’un vrai disciple qu’une fleur en papier est différente d’une vraie fleur. Il peut tromper ceux qui regardent superficiellement mais il ne trompe pas ceux qui s’approchent plus, sache que, sur celui qui est un autre petit moi, tant il vit en moi et opère par moi, il y a un signe que les âmes perçoivent. J’ai dit les âmes. Il est inutile de se désoler que les autres s’en aperçoivent. L’âme que Dieu possède exhale un parfum et une lumière qui sont de Dieu, du Dieu vivant en elle. Et tu sais que le parfum et la lumière échappent à toute serrure lorsqu’ils sont intenses. Y a-t-il une lumière et un parfum plus intenses que ceux de Dieu ? Or, si la vue et l’odorat humains, si limités soient-ils, réussissent à percevoir les lumières et les parfums même s’ils sont bien enfermés, tu voudrais que l’âme, dont la sensibilité n’est pas humaine mais spirituelle, ne perçoive pas l’odeur de Dieu et la lumière de Dieu vivant dans un cœur ?Je t’ai déjà dit d’autres fois que vous, mes bien-aimés, vous êtes lumière et parfum en ce monde, et vous embaumez de mon parfum vos frères et sœurs, et vous leur transmettez ma Lumière qui est en vous. Mors, pourquoi t’en étonnes-tu ? Laisse parler les gens, que les bonnes gens, et les moins bons, disent “Tu es une fille de Dieu”. Cela aussi peut servir à les conduire à moi. Sois comme Marie en cela aussi et dis ton Magnificat. Marie ne s’exaltait pas dans la vanité des louanges d’autrui, mais elle ne niait pas non plus les grandes choses que Dieu accomplissait en Maria ne s’exalte jamais. Comme une fleur sous le soleil, qu’elle laisse les autres voir comment le Soleil l’embrasse et qu’elle dise humblement “Je suis belle par ta grâce”, et qu’elle donne charitablement à tous la joie que Dieu met en elle par sa caresse de lumière et son parfum de vérité. Et qu’elle fasse tout cela en imitant mon silence et celui de Marie. Sainte vertu que de savoir se taire ! Le silence, Maria, parle plus que tous les mots quand il est silence d’amour. »Source

Seigneur faitres de moi un instrument de votre paix. Là où est la haine, que je mette de l'amour. Là où est l'offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l'union. Là où est l'erreur, que je mette la vérité. Là où est le doute, que je mette la foi. Là où est le désespoir, que je mette l'ésperance.

Dans l'Église catholique, une vierge consacrée est une femme qui, par amour de Dieu, s'est engagée à vivre dans le célibat et la chasteté, et a été consacrée au nom du Seigneur par l’évêque de son diocèse de et célibat dans la BibleLa vocation de vierge consacrée a des origines bibliques, mais cette manière particulière de se donner à Dieu n'est pas mentionnée dans les évangiles. En effet, la société juive du ier siècle apr. n'envisage pas l'existence d'un célibat féminin choisi. Si la virginité existe, elle est le fait de jeunes femmes en attente de fiançailles et donc de mariage comme c'est le cas pour Marie, la mère de Jésus, ou dans la parabole des vierges folles et des vierges sages et, dans l'Ancien Testament, c'est le cas d'une jeune femme anonyme de Guibéa, des 400 jeunes vierges de Yabesh-de-Galaad, de Tamar, d'Esther. Le célibat féminin était généralement plus le fait de veuves qui ne se remarient pas comme la prophétesse Paul peint par Rembrant au xviie le Nouveau Testament, Jésus parle concrètement d'un célibat choisi pour le Royaume de Dieu "Ses disciples lui disent Si telle est la situation de l’homme par rapport à sa femme, mieux vaut ne pas se marier. » Il leur répondit Tous ne comprennent pas cette parole, mais seulement ceux à qui cela est donné. Il y a des gens qui ne se marient pas car, de naissance, ils en sont incapables ; il y en a qui ne peuvent pas se marier car ils ont été mutilés par les hommes ; il y en a qui ont choisi de ne pas se marier à cause du royaume des Cieux. Celui qui peut comprendre, qu’il comprenne ! »Une autre mention est celle faite dans les Actes des Apôtres au sujet des 4 filles du diacre Philippe de Césarée qui prophétisent, mais le premier à parler de célibat choisi pour Dieu est l'apôtre Paul qui dans la première épître aux corinthiens dit Frères, chacun doit rester devant Dieu dans la situation où il a été appelé. Au sujet du célibat, je n’ai pas un ordre du Seigneur, mais je donne mon avis, moi qui suis devenu digne de confiance grâce à la miséricorde du Seigneur. Je pense que le célibat est une chose bonne, étant donné les nécessités présentes ; oui, c’est une chose bonne de vivre ainsi. Tu es marié ? ne cherche pas à te séparer de ta femme. Tu n’as pas de femme ? ne cherche pas à te marier. Si cependant tu te maries, ce n’est pas un péché ; et si une jeune fille se marie, ce n’est pas un péché. Mais ceux qui font ce choix y trouveront les épreuves correspondantes, et c’est cela que moi, je voudrais vous éviter. Frères, je dois vous le dire le temps est lors, que ceux qui ont une femme soient comme s’ils n’avaient pas de femme, ceux qui pleurent, comme s’ils ne pleuraient pas, ceux qui ont de la joie, comme s’ils n’en avaient pas, ceux qui font des achats, comme s’ils ne possédaient rien, ceux qui profitent de ce monde, comme s’ils n’en profitaient pas vraiment. Car il passe, ce monde tel que nous le voyons. J’aimerais vous voir libres de tout souci. Celui qui n’est pas marié a le souci des affaires du Seigneur, il cherche comment plaire au Seigneur. Celui qui est marié a le souci des affaires de ce monde, il cherche comment plaire à sa femme, et il se trouve divisé. La femme sans mari, ou celle qui reste vierge, a le souci des affaires du Seigneur, afin d’être sanctifiée dans son corps et son esprit. Celle qui est mariée a le souci des affaires de ce monde, elle cherche comment plaire à son dans votre intérêt que je dis cela ; ce n’est pas pour vous tendre un piège, mais pour vous proposer ce qui est bien, afin que vous soyez attachés au Seigneur sans partage. Si un jeune homme pense qu’il risque de ne pas respecter une jeune fille, s’il est plein d’ardeur et que l’issue devienne inévitable, qu’il fasse comme il veut ils peuvent se marier, ce n’est pas un péché. Mais s’il tient ferme intérieurement, s’il ne subit aucune contrainte, s’il est maître de sa propre volonté et a pris dans son cœur la décision de ne pas s’unir à cette jeune fille, il fera bien. Ainsi, celui qui se marie fait bien, et celui qui ne se marie pas fera mieux encore. La femme reste liée aussi longtemps que son mari est en vie. Mais si son mari meurt, elle est libre d’épouser celui qu’elle veut, mais seulement s’il est croyant. Pourtant elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est ; c’est là mon opinion, et je pense avoir, moi aussi, l’Esprit de Dieu. »Cette idée de célibat et de virginité se retrouve aussi dans le livre de l'Apocalypse de Jean avec ce verset Ceux-là ne se sont pas souillés avec des femmes ; ils sont vierges, en effet. Ceux-là suivent l’Agneau partout où il va ; ils ont été pris d’entre les hommes, achetés comme prémices pour Dieu et pour l’Agneau. »Virginité consacrée féminine dans l'histoire de l'Église catholiqueChristianisme primitifStatue de sainte Catherine d'Alexandrie, église Notre-Dame-de-la-Basse-Œuvre Beauvais, France.Dès les débuts de l'Église et à l'imitation de Jésus qui a vécu célibataire, de sa naissance à ses années de prédications qui se sont soldées par sa mort sur la croix puis - pour les chrétiens - par sa résurrection et son ascension au Ciel, des hommes et des femmes sont restés célibataires pour le Christ, pour préparer voire hâter la venue du Royaume de Dieu. À cela, ils rejoignaient les enseignements des premiers apôtres et du magistère des églises chrétiennes primitives. Ces personnes sont alors placées sous la protection des autorités ecclésiales et elles ont droit à une place privilégiée dans la communauté chrétienne naissante. Peu à peu, de seules qu'elles étaient, des veuves et des vierges vont se réunir en communauté afin de se soutenir mutuellement. Ces deux communautés distinctes seront appelées l'ordre des veuves et l'ordre des d'un point de vue théologique, de nombreux Pères de l'Église vont écrire des traités à ce propos dont Tertullien et Ambroise de Milan "Mon amour de la chasteté- et toi aussi, sœur vénérée, sans paroles, mais par l'exemple silencieux de ta vie - m'invite à dire quelques mots sur la virginité, pour ne pas effleurer simplement en passant la vertu qui tient la première place. Si la virginité est louable, ce n'est pas du fait qu'on la trouve chez les martyrs, mais parce que c'est elle qui fait les martyrs. Mais comment la pensée de l'homme pourrait-elle saisir toute la profondeur d'une vertu que la nature elle-même n'a pas incluse dans ses lois ? Quelle parole humaine pourrait exprimer adéquatement ce qui dépasse l'homme ? C'est au ciel qu'elle est allée chercher le modèle à reproduire sur c'est tout naturel qu'elle ait puisé son genre de vie au ciel, ayant trouvé son Époux au ciel. Dépassant les nuées, le firmament, les anges, les astres, elle parvint jusqu'au Verbe de Dieu dans le sein du Père et y puisa de tout son cœur. Une fois trouvé pareil bien, qui pourrait le quitter ? Car ton nom est un parfum répandu, c'est pourquoi les jeunes filles t'ont aimé et attiré à elles » Ct 1,2. Finalement ce n'est pas moi qui l'ai dit celles qui n'épouseront ni ne seront épousées seront comme les anges du ciel » Mt 22,30. Ne soyons donc pas surpris si l'on compare aux anges les épouses du Seigneur des anges. Qui donc pourrait nier que cette forme de vie nous soit venue du ciel, quand elle s'est trouvée si rarement sur terre jusqu'à ce que Dieu soit descendu dans les membres d'un corps mortel ? Ce fut alors qu'une vierge conçut dans son sein et que le Verbe se fit chair Jn 1,14 pour que la chair devînt dira Mais Elie ? On ne voit pas qu'il se soit jamais livré à une convoitise justement pour cela qu'il apparaît glorifié avec le Seigneur Mt 17,3, pour cela qu'il viendra précéder l'avènement du Seigneur Ml 4,5. Il y a aussi Marie qui, jouant du tambourin, conduisit les chœurs dans une pudeur virginale Ex 15,20. Mais réfléchissez de qui elle était la figure. N'est-ce pas de l'Église, vierge, qui a groupé dans la pureté de l'Esprit la pieuse assemblée des peuples, afin qu'ils chantent les louanges divines ? Nous lisons aussi que des vierges étaient affectées au Temple de Jérusalem. Mais que dit l'Apôtre ? Tout cela se passait en figure, comme signe des choses à venir » 1Co 10,11. La figure en offre peu, la réalité un grand depuis que le Seigneur, se revêtant de notre corps, opéra l'union de la divinité et de l'humanité sans aucun mélange impur de la matière, la pratique d'une vie céleste dans des corps humains s'est répandue à travers le monde entier. C'est ce qu'ont préfiguré les anges qui servaient le Seigneur sur terre Mt 4,11 qu'une race d'élite se vouerait au service du Seigneur dans un corps sans tache. C'est elle la milice céleste que faisait pressentir l'armée des anges chantant les louanges de Dieu Lc 2,13-14. Nous avons donc une origine attestée depuis des siècles, la pleine réalisation datant du Christ." no 1010-1013.Et, en plus de ces traités, des exemples de vierges ayant refusé le mariage pour se consacrer au Christ et l'ayant payé de leur vie sont connus et mis en valeur comme celui de Sainte Cécile de Rome décédée entre 200-230, de Sainte Agnès 290-303 ou de Sainte Catherine d'Alexandrie décès probable en 303.Du ive au xve siècleDès le ive siècle, la vie érémitique puis monastique et canoniale vont se développer, d'abord dans le désert égyptien et au-delà dans le monde oriental d'abord puis occidental Saint Antoine le Grand 251-356, Saint Pacôme le Grand 292-348, Macaire de Scété décédé vers 391, Saint Martin de Tours 317-397, Saint Syméon le stylite 392-459, Saint Augustin d'Hippone 354-430 et Saint Benoît de Nursie 480-547. Mais, très rapidement, des femmes désirèrent partager cet idéal d'absolu érémitique puis communautaire c'est le cas de la sœur de Saint Benoît de Nursie, Sainte Scholastique décédée en 543.Peu à peu, ce modèle de consécration monacale devient, pour les femmes, la seule voie de consécration possible. En effet, la société n'était pas favorable à l'idée de voir des femmes vivre seules et subvenir à leurs besoins. De plus, leur célibat semblait être une menace sur les héritages familiaux. Bientôt, vie consacrée à Dieu fut indissociable de vie religieuse et surtout de vie cloîtrée. Et, lorsqu'au Moyen Âge, naissent les ordres mendiants que sont les franciscains, les dominicains, les carmes ou les ermites de Saint-Augustin, leurs branches féminines restèrent marquées par la clôture comme les dominicaines, les clarisses, les carmélites... Quelques femmes vont pourtant refuser le dictat de la vie claustrale comme Sainte Catherine de Sienne 1347-1380 ou, dans les Flandres, les béguines et leurs béguinages qui débutèrent au xiie siècle et prirent fin dans leur très grande majorité au xve xvie siècle au Concile Vatican IIMais au cours du Moyen Âge, comme pour beaucoup de jeunes femmes la vie religieuse n'est plus un choix, mais la réponse à une politique familiale imposée aux enfants, la clôture monacale va peu à peu être malmenée, les moniales recevant dans leur cellule ou passant de longs temps dans leurs familles respectives. Ce sont ces excès qui vont mener le Concile de Trente 1545-1563 à faire revenir les religieuses dans leurs monastères et couvents et à réformer puis imposer la clôture aux instituts féminins de vie religieuse comme chez les Bernardines réformées de Mère Louise de Ballon 1591-1669, les Visitandines de Sainte Jeanne de Chantal 1572-1641, les Ursulines d'Agnès de Mérici 1474-1540. En fait, Agnès Merici voulait qu'elle et ses compagnes se mettent au service des pauvres, des malades, des enfants à instruire, particulièrement les fillettes, etc. Ce n'est qu'à son décès que la société et l'Église catholique imposèrent à ses compagnes de se regrouper en congrégations soumises au respect de la clôture type de vie ursuline est celle que vivra Sainte Marie Guyart de l'Incarnation 1599-1672 qui, entrée dans l'Ordre de Sainte Ursule à Tours France, est partie en Nouvelle France afin d'aller évangéliser les amérindiennes - et ce malgré la clôture - et y implanta sa communauté religieuse à Québec. En 1566, la Constitution Circa pastoralis de Pie V durcit encore la position de l'Église catholique quant à la clôture des monastères et couvents féminins. C'est cette situation que Saint François de Sales 1567-1622 tenta de contourner - sans succès - en créant l'Ordre de la Visitation avec Sainte Jeanne de Chantal. Profitant de l'expérience malheureuse de son ami, Saint Vincent de Paul 1581-1660 et Sainte Louise de Marillac 1591-1660 arrivèrent à créer les Filles de la Charité sans que ces dernières ne soient soumises à la clôture, leur permettant de se rendre auprès des plus pauvres afin de les instruire, catéchiser, soigner, s'occuper des orphelins, vénérable Anne de Xaintonge 1567-1621 en fondant la Société des Sœurs de Sainte-Ursule de la Vierge Bénie parvint aussi à contourner l'écueil de la clôture afin d'être auprès du peuple de Dieu et des plus pauvres. Au fil des années et en contradiction avec le droit de l'Église catholique romaine, deux types d'ordres religieux féminins se distinguèrent a les ordres appliquant la règle de la culture stricte dits ordres contemplatifs comme les bénédictines, les cisterciennes, les clarisses, les trappistines, les carmélites réformées, les bernardines réformées, etc.; b les ordres ayant une approche plus souple de la clôture monacale appelés ordres apostoliques comme les Ursulines d'Anne de Xaintonges, les Filles de la Charité, les Sœurs de Saint Maurice, les Sœurs de Saint-Joseph de Cluny, etc. Au xixe siècle et au xxe siècle, la majorité des ordres religieux féminins étaient des ordres apostoliques tournés vers la prière et l'action dans la société auprès des malades, des handicapés, des orphelins, des prisonnières, des handicapés, des mères célibataires, des écolières, de la virginité consacrée depuis le Concile Vatican IIProcession des Pères conciliaires à la basilique Saint-Pierre de Rome, lors du concile Vatican II en octobre 1927, un rituel de consécration à la virginité consacrée existait pour des religieuses cloîtrées et celles vivant dans le monde, mais cette forme de consécration est ensuite tombée en désuétude et a été remplacée par la vie religieuse, avant d'être explicitement supprimée en a été rétablie après le Concile Vatican II. Le 31 mai 1970, la Congrégation pour le Culte divin, en application de la Constitution sur la Liturgie Sacrosanctum Concilium, affirmait Le rite de la consécration des vierges est compté parmi les plus précieux trésors de la liturgie romaine. En effet, le Christ Jésus a laissé à son Église l’héritage de la virginité consacrée comme un don particulièrement noble. C’est pourquoi, dès l’âge apostolique, des vierges ont consacré à Dieu leur chasteté, ce qui contribuait à la beauté du corps mystique du Christ et l’enrichissait d’une étonnante fécondité. Aussi, dès les origines, comme en témoignent les Pères, l’Église, dans sa sollicitude maternelle, a eu l’habitude de confirmer le vœu de virginité, à la fois saint et difficile, par une prière solennelle de consécration. Celle-ci, au long des siècles, s’est développée par l’addition d’autres rites signifiant plus clairement que les vierges consacrées offrent une image de l’Église épouse du Christ. Et cette prière est entrée dans le Pontifical romain. » Depuis le Concile Vatican II, cette vocation virginale à la consécration connaît un grand renouveau et pose des questions théologiques qui permettent de comprendre la virginité consacrée comme un approfondissement de la grâce du baptême et à une vocation à la prière dans la société comme il est demandé à tout catholique depuis le Concile de Vatican II. »Ce que le Catéchisme de l'Église catholique dit de la virginité consacréeDéveloppant ou précisant les enseignements du Concile Vatican II, le Catéchise de l'Église catholique traite de la consécration en général et de celle des vierges consacrées. Les paragraphes 922 à 924 traitent spécifiquement de la virginité consacrée La vie consacrée§ 915 "Les conseils évangéliques sont, dans leur multiplicité, proposés à tout disciple du Christ. La perfection de la charité à laquelle tous les fidèles sont appelés comporte pour ceux qui assument librement l’appel à la vie consacrée, l’obligation de pratiquer la chasteté dans le célibat pour le Royaume, la pauvreté et l’obéissance. C’est la profession de ces conseils dans un état de vie stable reconnu par l’Église, qui caractérise la " vie consacrée " à Dieu cf. LG 42-43 ; PC 1".§ 916 "L’état de la vie consacrée apparaît dès lors comme l’une des manières de connaître une consécration "plus intime", qui s’enracine dans le Baptême et dédie totalement à Dieu cf. PC 5. Dans la vie consacrée, les fidèles du Christ se proposent, sous la motion de l’Esprit Saint, de suivre le Christ de plus près, de se donner à Dieu aimé par-dessus tout et, poursuivant la perfection de la charité au service du Royaume, de signifier et d’annoncer dans l’Église la gloire du monde à venir cf. ⇒ CIC, can. 573".§ 917 "Comme un arbre qui se ramifie de façons admirables et multiples dans le champ du Seigneur, à partir d’un germe semé par Dieu, ainsi se développèrent des formes variées de vie solitaire ou commune, des familles diverses dont le capital spirituel profite à la fois aux membres de ces familles et au bien de tout le Corps du Christ LG 43".Les vierges consacréesElles n'appartiennent à la vie consacrée que pour la branche de celles qui vivent comme moniales. Les raisons historiques de la séparation en deux branches de l'Ordo Virginum sont liées à l'évolution des temps apostoliques, qui ne connaissaient que la vie virginale laïque en plein monde. Avec le regroupement en monastère au ive siècle, les Vierges cloîtrées éclipsent au cours des siècles leurs sœurs vivant en plein monde. Le Concile Vatican II a rétabli la possibilité de vie virginale laïque, l'Ordo Virginum en plein monde, diocésain, sans vœux, sans les caractéristiques de la vie consacrée religieuse. Les Vierges consacrées en plein monde sont historiquement la première forme de vie consacrée laïque.§ 922 "Dès les temps apostoliques, des vierges cf. 1 Co 7, 34-36 et des veuves chrétiennes cf. Jean-Paul II, exh. ap. Vita Consecrata, 7, appelées par le Seigneur à s’attacher à Lui sans partage dans une plus grande liberté de cœur, de corps et d’esprit, ont pris la décision, approuvée par l’Église, de vivre, respectivement, dans l’état de la virginité ou de la chasteté perpétuelle "à cause du Royaume des cieux" Mt 19, 12".§ 923 "Exprimant le propos sacré de suivre le Christ de plus près, [des vierges] sont consacrées à Dieu par l’évêque diocésain selon le rite liturgique approuvé, sont épousées mystiquement par le Christ Fils de Dieu et sont vouées au service de l’Église " ⇒ CIC, can. 604, § 1. Par ce rite solennel Consecratio virginum, "la vierge est constituée personne consacrée", "signe transcendant de l’amour de l’Église envers le Christ, image eschatologique de cette Épouse du Ciel et de la vie future" OCV prænotanda 1".§ 924 ""Proche des autres formes de vie consacrée" ⇒ CIC, can. 604, § 1, l’ordre des vierges établit la femme vivant dans le monde ou la moniale dans la prière, la pénitence, le service de ses frères et le travail apostolique, selon l’état et les charismes respectifs offerts à chacune OCV prænotanda 2. Les vierges consacrées peuvent s’associer pour garder plus fidèlement leur propos cf. ⇒ CIC, can. 604, § 2"Un exemple de ce renouveau l'Exhortation apostolique Vita consecrata 25 mars 1996 de Jean-Paul II sur l’ordre des vierges, des ermites et des Mr Mounir Abou Fadel et le pape Jean Paul II.§ 7 "C’est un motif de joie et d’espérance que de voir à notre époque le retour de l’antique ordre des vierges, dont nous avons trace dans les communautés chrétiennes depuis les temps apostoliques. Les vierges consacrées par l’évêque diocésain entrent dans une relation étroite avec l’Église et elles se mettent à son service, tout en restant dans le monde. Seules ou associées, elles constituent une image eschatologique de l’épouse céleste et de la vie future, dans laquelle l’Église vivra finalement en plénitude l’amour pour le Christ son Époux. Les ermites, hommes et femmes, appartenant à des ordres anciens ou à des instituts nouveaux, ou encore en dépendance directe de l’évêque, témoignent de la fugacité du temps présent par leur séparation intérieure et extérieure du monde ; ils attestent par le jeûne et la prière que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de la Parole de Dieu cf. Mt 4,4. Cette vie au désert » est une invitation pour leurs semblables et pour la communauté ecclésiale elle-même à ne jamais perdre de vue la vocation suprême, qui est de demeurer toujours avec le Seigneur. On assiste aujourd’hui au retour de la consécration de veuves, connue depuis les temps apostoliques cf. 1 Tm 5, ; 1 Co 7,, ainsi que de celle des veufs. Par leur vœu de chasteté perpétuelle pour le Royaume de Dieu, ces personnes se consacrent dans leur condition pour se donner à la prière et au service de l’Église."Une femme tout entière consacrée à DieuAvant toute chose, une vierge consacrée est une femme qui a décidé librement de donner toute sa vie à Dieu. Sa décision est le résultat d'une réflexion et d'un appel de Dieu et il peut survenir à tout âge. En effet, s'il faut que la femme qui demande à être consacrée à Dieu soit majeure et capable de discernement, il n'y a pas de limite d'âge pour être consacrée au qu'une vierge consacrée ?Béguinage de Bruges en 2008.À la différence de certaines autres formes de vie consacrées, les vierges consacrées ne prononcent pas de vœux, mais un "ferme propos" propositum de vivre dans la virginité, ce qui n'implique pas nécessairement d'avoir gardé son intégrité physique, mais simplement de ne pas avoir été marié, de ne pas avoir d'enfants, et de ne pas avoir vécu dans un état notoire de concubinage. Elles sont consacrées à Dieu par l'évêque de leur diocèse de domicile. Dans la vie quotidienne, ces femmes "peuvent vivre seules, en famille, avec d’autres consacrées ou dans d’autres situations favorables à l’expression de leur vocation et à la mise en œuvre de leur projet concret de vie". Elles doivent subvenir à leurs besoins, soit en exerçant une activité rémunérée comme celle de médecin, archiviste, institutrice, infirmière, contrôleuse de train, assistante de paroisse, catéchiste, podologue, etc, soit par d'autres moyens providentiels. Leur vie quotidienne doit être portée par la prière, la prière personnelle mais aussi la prière de l'Église catholique qui est la liturgie des Heures aussi appelée Bréviaire. Et, sans que cela doive être une obligation, elles sont invitées à se mettre au service de l'Église catholique et /ou des pauvres en fonction de leurs capacités propres. La vocation d'une vierge consacrée est donc d'être toute à Dieu, à chaque instant, dans l'amour du prochain et de l'Église du code de droit canonique de 1983 parle des vierges consacrées en affirmant § 1 "À ces formes de vie consacrée s'ajoute l'ordre des vierges qui, exprimant le propos sacré de suivre le Christ de plus près, sont consacrées à Dieu par l'Évêque diocésain selon le rite liturgique approuvé, sont épousées mystiquement par le Christ Fils de Dieu et sont vouées au service de l'Église."§ 2 "Afin de garder plus fidèlement leur propos et d'accomplir par une aide mutuelle un service d'Église conforme à leur propre état, les vierges peuvent s'associer entre elles." no 604.Pour la théologie catholique, par sa consécration, une vierge consacrée est alors configurée à l'Église en tant que vierge, épouse et mère Parce que l’Église est vierge, les vierges consacrées sont appelées à être vierges, selon qu'il est écrit dans la Bible "Je vous ai fiancés à un Époux unique comme une vierge pure à présenter au Christ". Celle qui reçoit la consécration s’engage donc par une décision irrévocable à vivre dans la virginité perpétuelle. Un tel choix demande un engagement radical et sans réserve afin d'être disciple du Christ Jésus sous une forme particulière et que le Christ aime l’Église et que l'Église est son épouse, les vierges consacrées sont appelées à devenir épouses de Jésus. C'est pourquoi, pour souligner leur engagement, les vierges consacrées reçoivent une alliance lors de leur consécration. Vierges consacrées, elles deviennent "Christi Sponsa", épouse du Christ, selon qu'il est écrit dans la Bible "Ton Seigneur t’épousera". La vocation de la vierge consacrée est donc de se laisser épouser par le Christ et de devenir un signe transcendant de l’amour de l’Église pour le Christ son Époux ainsi que l'image du Royaume de Dieu à venir. Cette manière de parler veut exprimer le total don de soi de la vierge consacrée au Christ, et de son attention de tous les jours à tourner sa vie vers Dieu et vers Dieu seul en attendant d'aller le contempler en que l’Église est mère, les vierges consacrées sont appelées à être maternelles, selon qu'il est écrit dans la Bible "Pousse des cris de joie, toi qui n’as pas enfanté selon la chair plus nombreuse sera ta postérité". À la suite de la Vierge Marie, les vierges consacrées sont appelées à chercher sans cesse à accomplir la volonté du Père et s’ouvrir ainsi à une fécondité spirituelle. Cet aspect maternel s'exprime aussi par le don de soi à son prochain dans le besoin et à toute personne rencontrée dans une existence. Il s'agit d'aimer parce que Dieu aime tous les êtres humains et comme Dieu les spiritualité virginale, sponsale "spiritualité de l'épouse" et maternelle de la vierge consacrée s'enracine dans la grâce de son baptême. La vierge consacrée a grande conscience que la Vierge-Épouse-Mère est l'Église qu'elle est appelée à représenter. Elle sait que le lien nuptial avec le Fils de Dieu ne se réalise véritablement et en plénitude que chez les saints - but vers lequel elle chemine avec le Peuple de Dieu. Cependant, sa vocation propre a cette spécificité de représenter sacramentellement ce triple mystère, ou plutôt cet unique mystère de la "Femme de l'Agneau" Ap 21, 10, l'Église. Selon le titre du document normatif de l'Église qui présente sa vocation, elle est "l'Ecclesiæ Sponsæ Imago", "l'image de l'Église-Épouse" par son célibat consacré, elle en est le signe visible, dans sa toutes les formes de vie consacrée, sa vocation est donc le fruit d'un épanouissement spécifique de sa grâce baptismale. Le Concile Vatican II rappelle que l'épouse du Christ est l'Église, c'est-à-dire chaque baptisé ; la vierge consacrée en est le signe, le sacramental. Cette contemplation de l'Église-Épouse est reprise dans le Catéchisme de l'Église catholique "L’unité du Christ et de l’Église, Tête et membres du Corps, implique aussi la distinction des deux dans une relation personnelle. Cet aspect est souvent exprimé par l’image de l’époux et de l’épouse. Le thème du Christ Époux de l’Église a été préparé par les prophètes et annoncé par Jean-Baptiste cf. Jn 3, 29. Le Seigneur s’est lui-même désigné comme " l’Époux " Mc 2, 19 ; cf. Mt 22, 1-14 ; 25, 1-13.L’apôtre présente l’Église et chaque fidèle, membre de son Corps, comme une Épouse " fiancée " au Christ Seigneur, pour n’être avec Lui qu’un seul Esprit cf. 1 Co 6, 15-16 ; 2 Co 11, 2. Elle est l’Épouse immaculée de l’Agneau immaculé cf. Ap 22, 17 ; Ep 1, 4 ; 5, 27 que le Christ a aimée, pour laquelle Il s’est livré " afin de la sanctifier " Ep 5, 26, qu’Il s’est associée par une alliance éternelle, et dont Il ne cesse de prendre soin comme de son propre Corps cf. Ep 5, 29 Voilà le Christ total, Tête et Corps, un seul formé de beaucoup. ... Que ce soit la Tête qui parle, que ce soit les membres, c’est le Christ qui parle. Il parle en tenant le rôle de la Tête ex persona capitis ou bien en tenant le rôle du Corps ex persona corporis. Selon ce qui est écrit " Ils seront deux en une seule chair. C’est là un grand mystère, je veux dire en rapport avec le Christ et l’Église " Ep 5,31-32. Et le Seigneur lui-même dans l’Évangile " Non plus deux, mais une seule chair " Mt 19, 6. Comme vous l’avez vu, il y a bien en fait deux personnes différentes, et cependant, elles ne font qu’un dans l’étreinte conjugale. ... En tant que Tête il se dit " Époux ", en tant que Corps il se dit" Épouse " S. Augustin, Psal. 74, 4.".Comment devenir vierge consacrée ?La démarche est avant tout personnelle. Il est possible aussi à celle qui désire être consacrée au Christ de contacter un prêtre qu'elle connaît ou les vierges consacrées de son diocèse afin d'obtenir plus de renseignements concernant cette vocation particulière. Selon les diocèses, il est demandé à la candidate de contacter son évêque ou un vicaire épiscopal. Elle pourra ensuite être accompagnée par un prêtre durant un temps différent d'une candidate à l'autre. Ensuite, d'un commun accord avec l'évêque, le choix d'une date sera arrêté pour la célébration de la célébrationSi la consécration dans l'ordre des vierges n'est pas un sacrement mais un sacramental, son rituel, bien que particulier à cette vocation, est tout de même à cheval entre le rituel des ordinations diaconales, sacerdotales et épiscopales, tout en étant voisin du rituel de mariage. Tout d'abord, comme pour les ordinations, le célébrant est l'évêque du diocèse de domicile de celle qui demande sa consécration et, comme dans les sacrements de l'ordination, du mariage, du baptême, le consentement libre de la candidate est nécessaire, c'est pourquoi, une partie du rituel prévoit l'appel de la candidate et un court dialogue avec l' le rituel prévoit une litanie des saints que la candidate peut agrémenter en fonction de sa spiritualité particulière qui peut s'accompagner d'une prostration. Cette litanie est suivie de la prière de consécration et de la remise des insignes de la consécration que sont la lumière du Christ, l'anneau et le livre des heures. À noter que, dans certains cas - si la vierge consacrée fait partie d'un institut de vie religieuse ou si elle le demande bien que vivant seule - un voile peut être remis à ce moment à la nouvelle vierge consacrée. Si elle vit seule, la vierge consacrée peut alors choisir de porter ou non ce signe particulier dans sa vie faut encore préciser que cette consécration est publique si l'on choisit un engagement plus secret, la consacrée pourra se tourner vers des vœux privés. Dans le cas des consécrations publiques, de nombreuses vierges consacrées choisissent de vivre cet engagement dans leur communauté paroissiale ou encore dans la cathédrale de leur rituel de la Consécration des viergesLe rituel de la Consécration des vierges s'intègre donc dans la structure globale d'une messe, à l'exception de la prière universelle que la litanie des saints remplace. Donc, comme dans toute messe, après le Kyrie et le Gloria, se déroule la liturgie de la Parole et l'homélie. Ensuite, s'intègre le rite de consécration en lui-même, puis la litanie des saints pendant lequel la candidate peut choisir d'être prostrée soit couchée sol contre terre et les bras en croix et, à la fin de la litanie, l'évêque prononce une prière particulière. Suivent la décision de la virginité, la prière solennelle de la consécration des vierges et la remise des insignes de la consécration. La célébration se poursuit comme toute messe par la liturgie eucharistique et se clôt par l' envoi à la liturgie spécifique du rituelRite de consécration Appel et dialogueConsécration dans le diocèse de Sion en la fin de son homélie, l'évêque s'adresse à la candidate en lui demandant "NN., le Seigneur vous appelle à le suivre. Avancez à sa rencontre". La candidate se lève et s'avance elle peut être accompagnée d'une ou deux personnes de son choix et elle répond selon ce qui lui correspond le plus elle peut aussi choisir une formule personnelle qui explicite son engagement volontaire "Me voici, Seigneur, puisque tu m'as appelée / Me voici pour m'attacher au Seigneur sans partage".L'évêque interroge alors la candidate en lui demandant "Voulez-vous persévérer toute votre vie dans votre résolution de virginité consacrée au service du Seigneur et de son Église ?". La candidate répond "Oui, je le veux".L’évêque continue en questionnant la candidate par le texte suivant "Voulez-vous suivre le Christ selon l’Évangile de telle sorte que votre vie apparaisse comme un témoignage d'amour et le signe du Royaume à venir ?". La candidate répond "Oui, je le veux".L’évêque poursuit avec la question suivante "Voulez-vous être consacrée au Seigneur Jésus Christ, le fils du Dieu Très-Haut, et le reconnaître comme votre Époux ?". La candidate répond "Oui, je le veux".L'évêque et l'assemblée répondent alors "Nous rendons grâce à Dieu".La litanie des Saints prière de l'évêqueAvant d'entonner la litanie des Saints, l'évêque prie ainsi "Prions Dieu notre Père, par son Fils notre Seigneur, afin que l'Esprit répande sa grâce en abondance sur celles qu'il a choisi de consacrer à son service. Que la Vierge Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès de Dieu".Prière de l'évêque à la fin de la litanie des Saints "Écoute, Seigneur, ton Église en prière Dans ton amour, prend pitié de celles ou NN. que tu as appelées; conduis-les dans la voie du salut, pour qu'elles désirent ce qui te plaît et soient toujours vigilantes pour l'accomplir. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur". L'assemblée répond "Amen".La décision de la virginité soit la consécration solennelle à la virginité par le choix libreLa candidate s'avance, et se met à genoux devant l'évêque et, plaçant ses mains dans celles de l'évêque, elle dit48 "Père, avec la grâce de Dieu, je professe, devant vous et devant l'Église, ma décision irrévocable de vivre dans la chasteté et de suivre le Christ. Recevez mon engagement et donnez-moi, je vous prie, la consécration".Le rituel de la consécration des vierges précise que "la formule et les gestes qui accompagnent ce vœu peuvent être modifiés selon les circonstances".Prière solennelle de la consécration des viergesUne fois qu'il a reçu l'engagement libre de la candidate, l'évêque étend les mains et dit la longue et belle prière de consécration "Seigneur notre Dieu, toi qui veux demeurer en l'homme, tu habites ceux qui te sont consacrés, tu aimes les cœurs libres et purs. Par Jésus Christ, ton Fils, lui par qui tout a été fait, tu renouvelles en tes enfants ton image déformée par le péché. Tu veux non seulement les rendre à leur innocence première, mais encore les conduire jusqu'à l'expérience des biens du monde à venir ; et dès maintenant, tu les appelles à se tenir en ta présence comme les anges devant ta face. Regarde, Seigneur, notre sœur NN. en réponse à ton appel, elle se donne tout entière à toi ; elle a remis entre tes mains sa décision de garder la chasteté et de se consacrer à toi pour un être de chair pourrait-il, en effet, maîtriser les appels de la nature, renoncer librement au mariage et s'affranchir des contraintes de toutes sortes, si tu n'allumes ce désir, Seigneur, si tu n'alimentes cette flamme et si ta puissance ne l'entretient ? Sur tous les peuples, tu répands ta grâce ; et de toutes les nations du monde tu te donnes des fils et des filles, plus nombreux que les étoiles dans le ciel, héritiers de la nouvelle Alliance, enfants nés de l'Esprit, et non pas de la chair et du sang. Et parmi tous les dons ainsi répandus, il y a la grâce de la virginité tu la réserves à qui tu veux. C'est en effet, ton Esprit Saint qui suscite au milieu de ton peuple des hommes et des femmes conscients de la grandeur et de la sainteté du mariage et capables pourtant de renoncer à cet état afin de s'attacher dès maintenant à la réalité qu'il préfigure l'union du Christ et de l'Église. Heureux ceux qui consacrent leur vie au Christ et le reconnaissent comme source et raison d'être de la virginité. Ils ont choisi d'aimer celui qui est l'époux de l'Église et le Fils de la Vierge Mère !"L’Évêque, étendant les mains sur la future consacrée, poursuit "Accorde, Seigneur, ton soutien et ta protection à celle qui se tient devant toi, et qui attend de sa consécration un surcroît d'espérance et de force Que jamais l'esprit du mal, acharné à faire échec aux desseins les plus beaux, ne parvienne à ternir l’éclat de sa chasteté, ni à la priver de cette réserve qui doit être aussi la richesse de toute femme. Par la grâce de ton Esprit Saint, qu'il y ait toujours en elle prudence et simplicité, douceur et sagesse, gravité et délicatesse, réserve et brûle de charité et n'aime rien en dehors de toi ; qu'elle mérite toute louange sans jamais s'y complaire ; qu'elle cherche à te rendre gloire, d'un cœur purifié dans un corps sanctifié ; qu'elle te craigne avec amour, et, par amour, qu'elle te serve. Et toi, Dieu toujours fidèle, sois sa fierté, sa joie et son amour ; sois pour elle consolation dans la peine, lumière dans le doute, recours dans l'injustice ; dans l'épreuve, sois sa patience; dans la pauvreté, sa richesse; dans la privation, sa nourriture; dans la maladie, sa guérison. En toi, qu'elle possède tout, puisque c'est toi qu'elle préfère à tout. Par Jésus Christ, ton Fils notre Seigneur et notre Dieu, qui règne avec toi et le Saint-Esprit, maintenant et pour les siècles des siècles".Tous répondent alors "Amen".Remise des insignes de la consécrationLors de la consécration des vierges, trois éléments sont obligatoirement remis, à savoir l'anneau, le livre de prière et la lumière. Toutefois, il est possible à la postulante de recevoir aussi un voile qu'elle portera ou non dans la vie quotidienne et ce, en fonction de ses besoins propres. De plus, d'autres formules et d'autres symboles peuvent être remis à la nouvelle vierge nouvelle vierge consacrée s'avance alors vers l'évêque qui lui remet le voile si elle le désire en disant "NN., recevez ce voile, signe de votre consécration ; n'oubliez jamais que vous vous êtes vouée au service du Christ et de son corps, qui est l'Église". La consacrée répond "Amen".l'anneau "Recevez cet anneau, signe de votre union avec le Christ. Gardez une fidélité sans partage au Seigneur Jésus ; il vous introduira un jour dans la joie de l'alliance éternelle". La consacrée répond "Amen".le livre de prière de l’Église "Recevez le livre de la prière de l'Église. Ne cessez jamais de louer votre Dieu ni d'intercéder pour le salut du monde". La consacrée répond "Amen".la Lumière "Veillez, car vous ne savez ni le jour ni l'heure. Conservez avec soin la lumière de l'Évangile, et soyez toujours prête à aller à la rencontre de l'Époux qui vient". La consacrée répond "Amen".Cette partie de la célébration peut se conclure sur l'échange d'un geste d'amitié et de paix, puis tout le monde retourne à sa place pour célébrer la liturgie la prière de communion, la nouvelle consacrée s'avance vers l'autel et l'évêque prononce sur elle cette prière trinitaire "Que Dieu notre Père vous garde toujours dans l'amour de la virginité qu'il a mis dans votre cœur". La consacrée répond "Amen".Puis l'évêque ajoute "Que Jésus notre Seigneur, fidèle époux de celles qui lui sont consacrées, vous donne, par sa Parole, une vie heureuse et féconde". La consacrée répond "Amen".L'évêque prononce encore les paroles suivantes "Que l'Esprit Saint, qui fut donné à la Vierge Marie et qui a consacré aujourd'hui votre cœur, vous anime de sa force pour le service de Dieu et de l'Église". La consacrée répond "Amen".Enfin, l'évêque bénit toute l'assemblée au moyen de la formule suivante ou d'une autre laissée au choix du célébrant "Et vous qui avez participé à cette célébration, que Dieu tout puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint-Esprit". Tous répondent alors "Amen"Source

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Seigneur fais de moi un instrument de ta paix. Là où est la haine que je mette l'amour. Là où est l'offense que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l'union. Là où est l'erreur, que je mette la vérité. Là où est le doute, que je mette la 29 mai 2010 Seigneur, Fais de moi l’instrument de ta paix afin que Là où est la haine, que je puisse apporter l’amour. Là où est l’offense, que je puisse apporter le pardon. Là où est la discorde, que je puisse apporter l’harmonie. Là où est l’erreur, que je puisse apporter la vérité. Là où est le doute, que je puisse apporter la foi. Là où est le désespoir, que je puisse apporter l’espérance. Là où sont les ténèbres, que je puisse apporter la lumière. Là où est la tristesse, que je puisse apporter la joie. Seigneur, que je cherche plutôt à consoler qu’à être consolé, à comprendre qu’à être compris, à aimer qu’à être aimé. Car c’est en se donnant que l’on reçoit, c’est en s’oubliant que l’on se trouve, c’est en pardonnant qu’on est pardonné, c’est en mourant qu’on s’éveille à la vie éternelle. Amen. Cetteprière est attribuée à st François d’Assise, mais en fait elle est bien plus récente-> cf les recherches et les écrits de Christan Renoux Laprière la plus connue de Saint François d'Assise. « Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix, Là où est la haine, que je mette l’amour. Là où est l’offense, que je français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche Traduction - dopée à l'IA Zut ! Nous n'avons pas pu récupérer les informations. Nous travaillons pour résoudre ce problème au plus vite. Traduction de voix et de textes plus longs "Seigneur fais de moi un instrument de ta paix" attribué à saint François d'Assise. Cf. Prov 3126. Attributed to Saint Francis of Assisi. M. Norman ? Seigneur, fais de moi l'instrument de Ta paix. Notre prière Seigneur, fais de moi un instrument de Ta paix, devient particulièrement actuelle et vivante. Our prayer Lord, make me an instrument of Thy Peace is becoming more relevant and real. Jacques 119 Seigneur, fais de moi le sage qui retient ses lèvres. James 119 Lord, make me the wise one who restrains his lips. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 9113. Exacts 1. Temps écoulé 414 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots fréquents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200
Seigneur bénis ma vie et fais de moi un instrument de ta paix. Nous devons placer tous nos plans et objectifs dans le cœur du Seigneur et avoir confiance que les bénédictions se déverseront abondamment en notre faveur. Bénis nos vies, Seigneur ! Ne nous permets pas d'être injustes dans nos actions, mais messagers de ton royaume. Je vous consacre mon

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Faisde moi un instrument de ta paix À propos Parole de Dieu Intention Prière Chant Da pacem cordium Taizé On attribue souvent à François cette très belle prière pour la paix. Elle est comme un mode d’emploi pour construire la paix. « Seigneur, fais de moi un instru-ment de ta paix. Là où est la haine, que je mette l’amour. Là More from Chantons en Église 22 chants de miséricorde et de réconciliation LoadingYou Might Like LoadingCurrently Trending Songs LoadingTop Songs By Same Artists LoadingTop Songs By Same Actors LoadingArtistsAbout Seigneur, fais de moi un instrument de ta paixListen to Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix online. Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix is a French language song and is sung by Étienne Uberall and Ensemble vocal Resurrexit. Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix, from the album Chantons en Église 22 chants de miséricorde et de réconciliation, was released in the year 2015. The duration of the song is 435. Download French songs online from for Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix Seigneur fais de moi un instrument de ta Paix. Là où est la haine, que je sème l'Amour. Là où est l'offense, le Pardon. Là où est le doute, la Foi. Là où est le désespoir, l'Esperance. Là où sont le ténèbres, la Lumière. Là où est la tristesse, la Joie . Oh Maître Divin, accordes moi de ne pas tant chercher à être consoler Prière de saint François Mug à café isothermePar csturmanFais de moi un instrument de ta paix Mug à café isothermePar Kathy WeaverSeigneur fais de moi un instrument de ta paix Mug classiquePar Kathy WeaverSeigneur, fais de moi un instrument de ta paix Mug à café isothermePar Kathy WeaverSeigneur, fais de moi un instrument de ta paix Là où il y a de la haine, laisse-moi semer l'amour Mug classiquePar mtsdesignFrançois d'Assise - Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix. Là où il y a de la haine, laisse-moi semer l'amour Mug classiquePar Syahrasi SyahrasiSeigneur, fais de moi un instrument de ta paix Là où il y a de la haine, laisse-moi semer l'amour Mug longPar mtsdesignSaint François d'Assise - Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix Mug classiquePar colleendoodleSeigneur, fais de moi un instrument de ta paix Là où il y a de la haine, laisse-moi semer l'amour Mug classiquePar mtsdesign
Seigneur fais de moi un instrument de ta paix La Bonne le 22 mars 2016 Face aux attentats de Bruxelles en Belgique, il faut unir toutes nos forces dans une prière
Déc 1 2021 ∞ Pour découvrir toutes mes créations Par Soriah • Prières • 0 Alorsfaisons nôtre la prière attribuée à saint François d’Assise : « Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix! Là où il y a de la haine, que je mette l’amour. Là où il y a l’offense, que je mette le pardon. Là où il y a la discorde, que je mette l’union. » Père Benoît Willemaers s.j. Communauté Notre-Dame de la Éditos « Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix, Là où est la haine, que je mette l’amour. Là où est l’offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l’union. Là où est l’erreur, que je mette la vérité. Là où est le doute, que je mette la foi. Là où est le désespoir, que je mette l
3 Rassemble tous nos frères À l’ombre de tes grands bras. Par toi, Dieu notre Père Au Ciel nous accueillera. Prière de Saint François d’assise Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix, Là où est la haine, que je mette l’amour. Là où est l’offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l’union.
Mercipour les moments de joie et pour les moments de difficulté. Merci pour les rêves réalisés et pour ceux qui sont encore à venir. Merci pour ce temps de f écondité renouvelée auquel tu m’ appelles. Augmente, ô Seigneur, ma foi, Fais de moi un instrument de ta paix ; Apprends-moi à accueillir ceux qui souffrent plus que moi, Prièrede saint François d'Assise “Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix, Là où est la haine, que je mette l’amour. Là où est l’offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l’union. Là où est l’erreur, que je mette la vérité. Là où est le doute, que je mette la foi.

JEM199 Noël Colombier. Seigneur, fais de nous Des ouvriers de paix, Seigneur, fais de nous Des bâtisseurs d'amour. 1. Là où demeure la haine, Que nous apportions l'amour, Là où se trouve l'offense Que nous mettions le pardon. Seigneur, fais de nous Des ouvriers de paix, Seigneur, fais de nous Des bâtisseurs d'amour. 2.

Seigneur fais de moi un instrument de ta paix - DEV450-4. Auteur : Saint François d'Assise. Compositeur : Michel Wackenheim. Editeur : ADF-Musique. Publié dans : Signes Musiques

Seigneur faites de moi un instrument de votre Paix ! Là où il y a de la haine, que je mette l'amour. Là où il y a l'offense, que je mette le pardon. Là où il y a la discorde, que je mette l'union. Là où il y a l'erreur, que je mette la vérité. Là où il y a le doute, que je mette la foi. Là où il y a le désespoir, que je mette l'espérance.

\n\n\n\n \n seigneur fait de moi un instrument de ta paix
Misen ligne le : 25-12-2008 . Source : http://www.sourcedevie.comhttp://www.sourcedevie.com
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